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Jun Ewer

Anonymous
Invité
Invité
Sam 16 Mai 2015 - 22:47
Invité
Fiche d'identité



Nom : Ewer, anciennement Shimoa
Prénom : Jun
Âge : 23 Ans
Profession : Exécuteur
Affiliation : Gouvernement

Identité Ancienne

Mon histoire commence comme la grande majorité des histoires : dans la simplicité et l'innocence d'une enfance heureuse. Fille aînée d'une famille de deux enfants, mon frère, et moi étions parfaitement bien entourés de l'amour que pouvez nous porter nos parents. Nous n'étions pas riches, ne roulions pas sur l'or et peinions à manger à notre faim tous les jours, comme la grande majorité de la population à cette époque, et plus encore de nos jours avec la guerre qui menace. Mais nous étions néanmoins heureux de cette vie simple, dans un petit village côtier aux abords de l'océan. Mon frère Kuro et moi étions très complices, et nos querelles fraternelles, bien peu différentes de celles des autres enfants d'une même fratrie à nos âges, n’entachaient en rien l'amour que je lui portais ; la réciproque se voulant toute aussi vraie. Mon enfance n'a rien connu des grandes turbulences qui bouleversaient ce monde. Je n'eus pas la chance d'aller à l'école, recevant une instruction sommaire et basique pour apprendre à lire, écrire et compter de la part de mes parents. Le quotidien de mes journées se résumait à apprendre un petit peu, puis prêter main-forte à mes parents dans leurs tâches quotidiennes – celles que je pouvais accomplir – et veiller sur mon petit frère. L'innocence et l'insouciance des gamins m'animaient encore, rêvant de contrées imaginaires, des contes fantastiques, d'un avenir meilleur, où les hommes ne se battaient plus, où chacun pouvait manger à sa faim et où la gaieté régnerait en maître. Ainsi tournait mon monde, filtré par les yeux d'une petite fille.

Ces mêmes yeux qui ont aujourd'hui connu la guerre, l'horreur et la barbarie humaine. Ces yeux qui ont dévoilés à mon esprit la vérité brute, dure et cruelle du mondé réel, de la bêtise des hommes, de la cruauté naturelle qui habitait l'âme des adultes. Étais-je trop jeune à ce moment-là pour me retrouver confrontée à cette réalité ? Difficile à dire. Il n'y a pas d'âge où l'on est assez vieux pour y faire face en vérité. Ça nous tombe dessus, ça nous assaille et ça nous brise. Certains, comme moi, y font face et l'affrontent, souffrent et s'endurcissent. D'autres, abandonnent, baissent les bras et très généralement périssent ; et même si leur corps peu subsister, ne pas succomber, il n'est plus alors qu'une coquille vide, désertée de sa raison et de son âme, un être errant mécaniquement, abruti par la propre violence de son esprit défaillant.

Le jour où mon esprit fut illuminé par cette vérité, une illumination aveuglante, je dois bien le reconnaître, fut le jour où je perdis mes parents, mes voisins, mes amis. Rentrant d'une promenade en forêt, où j'étais partie chercher des champignons et des fruits sauvage, je retrouvais mon village en proie aux flammes, aux cris déchirant de détresse et d'agonie. J'ignorais pourquoi. J'ignorais comment. La violence et la barbarie des hommes s'étaient abattus sur mon quotidien, s'invitant dans celui-ci de la plus cruelle manière qui soit. Mes pieds apeurés foulaient les cendres chaudes qui tapissaient les rues, imbibés du sang des victimes civiles. Je regagnais la demeure familiale, encore épargnées par les flammes, trouvant mon petit frère dressé au sein de celle-ci, un regard vide, sombre, indigne et contraire à celui qu'il arborait jusqu'alors. Mais aucune trace de mes parents qui, partis travailler dans le centre-ville, n'avaient probablement pas pu réchapper de ce carnage. Peu importait d'ailleurs... Je n'avais qu'une seule idée en tête : m'enfuir, le plus vite et le plus loin possible, avec mon frère. Nous sauver loin de cet enfer, de toute cette folie.

Nous prîmes donc la route, vers d'autres contrées, partant à l'opposé des combats et de la barbarie, abandonnant derrière nous tout ce que nous avions connu, tout ce que nous fûmes autrefois pour arpenter l'inconnu, faire face à nos peurs, suivant le mince fil d'une espérance de trouver mieux, ailleurs. Trouver une ville, une grande ville. Trouver de l'aide, un refuge, des gens susceptibles de nous accueillir. Mais seule la misère et l'indifférence accompagnèrent nos pas. Nous n'étions que nous-mêmes, autant dire personne. De simples gouttes bringuebalées dans un océan d'inhumanité. Puisant dans les maigres réserves de nourritures que nous avions prises chez nous, dormant à la belle étoile, sous des arbres ou des masures abandonnées, des cartons humides et moisis, emmitouflées dans des couvertures percées, nous errâmes ainsi de loin mois, avant que de violentes migraines ne m'assaillent le crâne, toujours plus fortes quotidiennement, me fatiguant et m'affaiblissant après chaque kilomètre parcouru. Je me sentais faiblir, partir, en proie à des hallucinations sonores, visuelles ou olfactives, c'était selon... Un état qui inquiéta mon frère tout autant que moi-même. Mais un état qui ne nous empêcha pas d'atteindre la ville, enfin.

Sa banlieue aux hautes tours baignées de lumière artificielles nimbant la voûte céleste, semblable à un immense phare tentaculaire dressé dans le paysage. Une lueur d'espoir pour nous, rapidement balayée par le même souffle d'indifférence générale. Mendiant et chapardant notre subsistance quotidienne, nous fûmes un jour attrapés par un homme, un scientifique comme il se présenta à nous, nous offrant logis et pitance. Son ton se voulait aimable, son visage se voulait doux et bienveillant, mais son regard ne pouvait aucunement masquer les intentions plus sournoises qu'il ourdit. Il me diagnostiqua une tumeur cérébrale, maligne mais non métastasée. Du charabia pour la fillette de onze ans que j'étais. Il pouvait me guérir, mais en contre-partie, je devais le laisser par la suite faire quelques expériences sur moi. Mon frère se porta bien évidemment volontaire pour prendre ma place dans ces expériences, devenir cobaye et m'épargner cette condition ; mais le savant fou rejeta son offre, se désintéressant de lui pour se concentrer sur moi. Qu'étais-je donc ? Qu'avais-je donc de si particulier à lui offrir que mon frère ne pouvait pas ? Je l'ignore toujours à ce jour. Les intentions de cet homme malade me resteraient totalement obscures, pour toujours. Mais nous lui étions redevables de nous avoir sortis de la rue, de subvenir à nos besoins. Un sacrifice que je concédais à faire pour assurer la pérennité de mon frère, un minimum de confort.

Le savant parvint à me guérir de ma tumeur, dans un premier temps. Les migraines cessèrent immédiatement, les hallucinations avec. Et l'horreur commença véritablement. L'homme taillada mes chairs, étudia mon sang, mes gènes, mon cerveau ; injecta toutes sortes de produits chimiques dans mes veines. Plus qu'un cobaye ou un sujet, je devins une véritable marionnette. Chaque jour se découpait en heures de supplices où je me débattais, suppliante, hurlante et implorante de mettre fin à mon calvaire. Mes cheveux et ma peau se décolorèrent suite à ses expériences, durant de nombreux mois. L'acharnement de l'homme à pousser toujours loin ses expériences, à tester ses théories sur ma seule personne menaça de m'ôter la raison, de me rendre folle, irascible, inhumaine à mon tour. Mais mon corps et ma volonté s'endurcirent cependant sous les assauts et les injections de ce savant fou. Au fil des semaines, je pus sentir mon corps et ma volonté s'endurcir. Ma force, ma vitesse et mon agilité augmentèrent de manière drastique. Mon endurance et ma vitesse de guérison, ma résistance aux maladies et à la douleur s'en trouvèrent quant à elle exponentiellement accrues, bien au-delà de la normalité humaine.

Les expériences durèrent plus de deux longues années, jusqu'à ce que mon frère, dans un énième élan protecteur, réussit à finalement convaincre le scientifique fou de cesser ses expériences sur moi pour s'en prendre à lui. Très égoïstement, je lui serais éternellement reconnaissante d'avoir accompli ce sacrifice pour me tirer des pattes de cet homme. Un homme auquel, paradoxalement, j'avais commencé à m'attacher malgré les atrocités qu'il m'avait fait subir. Un savant fou qui représentait aussi bien une menace pour notre santé physique et mentale qu'un véritable guide au sein de ce monde dérangé. Je m'accrochais à lui, et je m'accrochais encore plus à mon frère, le soutenant dans ces épreuves, au cours de ses longues heures de souffrance ; jusqu'à ce qu'enfin, tout finisse par cesser. Contacté par Aurora Corporation, le scientifique rejoignit finalement les rangs de cette immense Corporation, m'entraînant avec lui dans les méandres de la Compagnie et m'arrachant à mon frère.

On m'expliqua, peu de temps après mon arrivée, que mon frère avait succombé, victime d'une agression dans la rue. Je niais en bloc cette histoire dans les premiers temps, et partais à la recherche de mon frère dans les rues de la ville, les différents sections d'Aurora qui m'étaient accessibles, jusqu'à ce qu'enfin, l'idée ne s'impose à moi. Assaillie d'une grande tristesse et d'une colère plus intense encore, je brisais définitivement les ponts que j'avais avec le scientifique qui nous avait amené ici, le désignant comme responsable, lui, ses nouveaux employeurs et même le Gouvernement pour lequel je travaillais désormais. Animée d'une incommensurable rancœur et d'un ardent désir de vengeance, je m'engageais désormais à servir la Compagnie et le Gouvernement par la voie des armes, bien décidée à profiter de leurs enseignements pour un jour pouvoir les retourner contre eux.

Dans mes instants de solitudes, isolées dans mes quartiers, dans le noir le plus absolu, je dessinais les plans de ma vengeance durant de longues heures de réflexion muette, emprisonnée dans mes souvenirs, mes souffrances et mes ambitions revanchardes. Je passais les années suivantes à m'entraîner au combat, à mains nues, aux armes blanches et aux armes à feu. J'utilisais les capacités dont m'avaient doté mes années de souffrances afin de satisfaire aux désirs et aux ordres de mes instructeurs. Parallèlement, je taisais tout ce qui avait attrait à mon passé, m'enfermant dans une coquille de froideur et d'impassibilité chaque jour plus épaisse. Officiellement, je devins Jun Ewer, reniant tout lien avec mon passé, ma famille, mes périples et mes souvenirs. Officieusement, au plus profond de moi-même, je restait une Shimoa. Je tournais la cruelle vérité de mon existence en un mensonge parfaitement construit. Je simulais l'oubli de mon passé comme de nombreux autres agents et employés d'Aurora Corp. De "personne", je ne devenais "rien" ; moins que rien même. J'étais un outil entre les mains d'Aurora, et du Gouvernement, docile, obéissant et efficace. Juste un ustensile certes, aisément sacrifiable, mais qui le moment venu, révéleraient son double tranchant lorsque que les mains qui pensaient me tenir entre leurs griffes affirmeront leur prise sr moi en toute confiance.

Le chemin sera long, parsemé d'obstacles, difficile à parcourir et cruel à endurer, mais j'aurais ma vengeance.

Questionnaire

Quel est votre avis à l'égard du Gouvernement ? D'Aurora Corporation ? Comptez-vous vous inscrire au programme Aurora Corporation, si ce n'est pas déjà fait ? Êtes-vous au courant des méfaits de la Société Miracle ?

écrire ici


Êtes-vous pour, ou contre les actions du Gouvernement ?

écrire ici


Avez-vous une motivation propre ? Quelque chose qui vous aide à vous lever tous les matins, à continuer à vivre ?

écrire ici

Caractéristiques

Physique

Mesurant 1m74 pour 62 kilogrammes, Jun est une jeune femme à la silhouette athlétique et élancée. Affichant une posture souvent altière, presque arrogante ; sa démarche laisse transparaître son assurance, la confiance qu'elle a en elle et ses propres facultés physiques durement acquises au prix de nombreuses heures de souffrances et d'entraînement. Plutôt plate et arborant au final très peu de formes féminine, un oeil attentif pourra déceler sur sa peau la myriade de cicatrices qui parsèment ses membres supérieurs et inférieurs, ainsi qu'une bonne partie du reste de son corps, souvenirs boursouflés des années passées à subir les atrocités les plus tordues et démentielles du savant fou qui l'arracha malgré tout aux griffes d'une mort programmée. Particulièrement honteuse de ses cicatrices et des douloureux souvenirs qu'elles représentent, elle porte très souvent des vêtements longs et des gants, rarement colorés, toujours blancs, noirs ou grisâtres ; ternes, afin de ne pas trop attirer l'attention sur sa personne.

Fort heureusement, son visage se révèle exempt de toute marque de souillure des travaux du scientifique l'ayant maltraité durant ses jeunes années, portant malgré tout un regard très sombre sur le monde et l'environnement qui l'entoure. Ses cheveux noirs descendent en une cascade irrégulière et indomptable sur ses épaules, très souvent noués en chignon ou en queue de cheval pour ne pas obstruer son champ de vision lorsqu'elle se trouve être en mission ; et encadrent un visage aux traits fins et durs, comme taillés à la serpe. Ses iris marron aux reflets d'ambre et de noisette portent sur le monde et son environnement un regard sombre, froid et dur, dominant de hautes pommettes saillantes ceignant un nez pointu au profil droit et discret, très étroit. Sa bouche, aux lèvres fines et légèrement rosées, ne s'étire que très rarement en un sourire, offrant le plus souvent à la vue de quiconque une apparence de neutralité des plus froides. Son visage ne reflète au final presque rien des émotions qui animent et transcendent la jeune femme.

Psychologie

Au quotidien et au sein de l'entreprise Aurora, Jun apparaît comme une jeune femme docile et bienveillante, bien que cela ne soit absolument pas perceptible sur ses traits ou son comportement. Très pudique, plutôt renfermée sur elle-même quant à ses pensées ou ses émotions, elle n'en reste pas moins fière et arrogante. Jugeant ses pairs et les êtres humains en général comme bien inférieurs à elle-même, quelles que soient leurs positions ou leurs compétences, elle dégage une aura charismatique qui inspire la confiance et l'abnégation. Un comportement qu'elle assume dans sa vie quotidienne et son travail, offrant d'elle l'image d'un agent d'Aurora aux résultats et à l'attitude exemplaire, entièrement dévouée à sa cause, à la Compagnie et au Gouvernement.

Mais dans les faits, la réalité se veut toute autre. A la différence de nombreux cobayes, scientifiques ou agents issus des blocs de la Compagnie, Jun se souvient parfaitement de qui elle était avant de franchir les portes d'Aurora, et ce qu'elle a subi pour en arriver-là. Nourrissant une profonde haine envers ses employeurs et leurs décisionnaires plus haut-placés encore, elle fomente en secret de sombres desseins de vengeance et de revanche à l'égard de ce système qu'elle rêve de voir un jour s'effondrer, dans les flammes et les plus atroces souffrances si possible. Devenue une véritable experte en comédie, falsification d'émotions et hypocrisie notoire, nul ne soupçonne à ce jour ses véritables intentions. Rongée par la peine d'avoir perdu son petit frère, ressentant l'oppression d'être orpheline de toute famille depuis quelques années désormais, sa tristesse a fini par se muer, au fil des mois écoulés en une colère profonde et bien ancrée dans son tempérament. Une colère qui lui permet en outre de déchaîner une véritable énergie, presque une rage intarissable, sur le terrain ou au sein de ses entraînements. Habitée d'une détermination flamboyante, elle ne tolérera aucun obstacle sur son chemin et l'abattra avec toute la violence dont elle peut faire preuve. Malgré tout, elle n'est encore jamais parvenue à réaliser le deuil de son frère, hantée par ses souvenirs, la proximité et la force du lien fraternel qui les unissait, la valeur du sacrifice de celui-ci durant son adolescence ; sans parler de cette petite voix aux intonations intuitives qui refuse d'admettre que Kuro ait pu trépasser, lui susurrant la folle idée que celui-ci est toujours bien vivant, quelque part.

Derrière l'écran

Pseudo : Stremp'
Prénom : Jerem'
Âge : 28
Source avatar : Afi Next View - arsenixc. (DeviantART)

Comment nous as-tu trouvé ? : Annuaire Frole-pbf
Que penses-tu du forum ? : Un contexte intéressant, un forum sobre et agréable ; bref, un bon potentiel !
Dis nous en plus sur toi : Un vieux geek bien gras et bien boutonneux (cliché!!) arpentant les forum RPG en quête de la perle rare ...ou pas.
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Rhyme West
Rhyme West
Informateur
Âge : 21 ans.
Féminin
Matricule : Gouvernemental
Profession : Espion - Informateur.
Liens : I'm up in blood, I'm runnin' dry.

Analyses : 257
Double-Identité(s) : Jeremy Arkeley.
Dim 17 Mai 2015 - 13:49
Rhyme West
On s'est déjà croisés sur la CB, mais je me permets de te re-souhaiter la bienvenue parmi nous. Ghgh
J'aime déjà ce que tu nous as pondu en tout cas. tu as une écriture vraiment agréable, j'ai l'impression que tu as réussi à te fondre totalement dans ce prédéfini. Mais je pense que ce sera plus à Kuro d'en juger, puisqu'il s'agit du créateur.

Bon courage, et n'hésite pas à nous faire appel si tu rencontres un obstacle. =D
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Anonymous
Invité
Invité
Dim 17 Mai 2015 - 16:21
Invité
Encore merci pour la bienvenue. C'est un prédef' qui correspondait parfaitement à ce que je voulais interpréter dans cet univers, donc un grand merci à son créateur également ; en espérant que mon interprétation lui convienne.

Tout ça pour conclure en quelques mots : la fiche est désormais terminée.
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