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Rivalité brisée, combat à mort dans le vide ordure

Reyes De Pourpre
Reyes De Pourpre
Ennemi Public
Âge : 22
Masculin
Matricule : Cobaye
Profession : Dealer de drogue
Analyses : 46
Ven 15 Jan 2016 - 20:39
Reyes De Pourpre
J'avais été attiré ici, sur un monticule de déchet sans personnes aux alentours pour me venir en aide ou pour être témoin de la scène. Une dizaine de personnes m'entouraient, tous armés de Beretta (une arme relativement facile à obtenir) et d'armes blanches longues. Leurs yeux étaient plein de haine et ne souhaitaient qu'une chose : le produit qui coule dans mes veines. C'était les troisièmes ce mois-ci. Celui qui semblait être le leader prit la parole

-On te demandaient pas grand chose Reyes... Juste notre dose habituelle. Mais tu étais sourd, on dit que tu as arrêté le trafic.

D'un signe de tête il commandait à ses sbires de se rapprocher, resserrant ainsi l'étau autour de moi. Il dégainait son flingue à son tour... 3 flingues, 5 battes, 3 katanas. 

-Mais tu sais que dans notre milieu on peut pas s'arrêter du jour au lendemain pas vrai ? Du coup là, on est vraiment à cran. Alors on va se servir sur ton cadavre.

Chacun d'eux ne voyaient pas en moi en être humain mais simplement l'objet de satisfaire leurs désirs égoïste d'êtres humains. Ils respiraient tous la folie, la folie que je connaissais que trop bien. J'étais plongé dedans depuis plusieurs mois maintenant, à la recherche de Jeremy Arkeley qui était introuvable. Je souriais au chef de tout mon saoul

-Je deviens plus fort de minutes en minutes. J'ai besoin de ça là tu vois ? Donc je ne vais pas pouvoir te fournir avant un certain temps. 

Il semblait irrité

-C'est quoi ces conneries ? A quoi tu joues ? Oh et puis merde !

Il levait son bras et pressait la détente. Le coup ne partait pas, non pas parce-que le pistolet était enrayé, mais tout simplement parce-que qu'il n'avait plus de bras. Il mit un certain temps avant de comprendre, avant que ses yeux ne viennent fixer le moignon sanguinolent lui arrachant un cri de douleur.

-Aaaaaah ! Mon bras ! Mon bras ! Qu'est-ce qu'il s'est passé ?

-C'est ça que tu cherches ?

Je lui lançais le membre à ses pieds, sous ses yeux ébahi, oscillant entre douleur, peur, et colère. Finalement la colère, sentiment primal de la race humaine, prit le dessus.

-Qu... Quand ? Ah ! Qu'est-ce que vous attendez vous ? BUTEZ LE !

Le plus courageux de tous (ou le plus idiot), me chargeait avec un katana, j'esquivais de la manière que je savais faire : Disgracieux mais imprévisible. L'arme fendit l'air du haut vers le bas et d'un mouvement rapide mon bras gauche déchirait la cage thoracique de l'infortuné. 
Je n'avais pas de compétence offensive spéciale, mais la rapidité d’exécution de mes mouvements les rendaient aussi tranchant qu'une lame. 

-Je te pique ça !

Je prenais son arme des mains avec mon bras droit. Aussitôt ses collègues réagirent. Les deux avec les pistolets, côte à côte, firent feu. Mon bras gauche toujours dans le cadavre chaud de leur défunt camarade, réagit instinctivement et si figeait dans la trajectoire entre nous et les balles. 

-Ahaha ! Tu es un bouclier de chair bien utile ! 

J'avançais lentement vers eux, les autres venaient à tour de rôle sur mes flancs dans l'espoir de me blesser mais au corps à corps c'était peine perdu. A l'aide du katana volé plus tôt je les tranchais à tour de rôle comme de vulgaire fétu de paille. Il n'était rien de plus que de la viande. Finalement quand tous les fantassins furent mort le bruit de la poudre se tût, signe que les deux singes rechargeaient. Aussitôt je me débarrassais de mon inutile bouclier et me ruais sur eux alors qu'il n'avait même pas remit le chargeur dans la chambre. La lueur meurtrière dans leurs yeux avaient cédé la place à la peur.

-Non non non ! MERDE ! Eurent-ils le temps de cracher avant de se faire décapiter.

Il n'en restait plus qu'un. Je me retournais vers le manchot qui avait récupéré son arme de son bras valide et me visait. Il était bon tireur, je voyais dans son regard qu'il savait viser. Le coup partit. 
De mon point de vue la balle était lente, aucune chance qu'une arme semi automatique ne me touche. Il lui aurait au moins fallu une automatique. Je penchais la tête sur la droite, la balle frôlant ainsi mon oreille. Je lui refaisait mon sourire carnassier.

-Beau tir. Je me le serait pris dans la tête si j'avais été un humain normal. 

Et je m'élançais dans sa direction, pour lui j'avais simplement disparu avant de subitement réapparaître en face de lui. Un oeil humain non entraîné ne pouvait pas suivre. 

-Je te demandais simplement d'être patient !

Je plantais profondément le katana dans sa jambe, l'immobilisant du même passage. Je m'agenouillais sur lui et mes mains attrapèrent son cou avant de le serrer. Quelques seconde plus tard il suffoquait et il était proche de la mort mais mon corps en avait décidé ainsi. Un mal de crâne cinglant m'obligea à porter ma main droite à mon front et à relâcher ma vigilance. L'homme en profita pour agir et me tira une balle dans l'épaule droite, m'obligeant à me relever. Rapidement il tirait son deuxième coup mais j'avais repris mes esprits, j'esquivais sans problème, mais avant de pouvoir lui donner le coup de grâce un éclair attirait mon regard dans le coin droit de mon champs de vision, c'était dangereux ! Je décidais plutôt de me rétracter et d'esquiver d'un bond en arrière. La chose s'écrasait dans un fracas assourdissant. C'était un homme. Une femme plus exactement. je pouvais lire une certaine colère dans ses yeux, l'envie d'accomplir une mission qui lui tenait à cœur, mais cette expression changea aussitôt en surprise réelle quand mon visage lui parvint. Elle articula mon prénom

-R... Reyes ?

Rivalité brisée, combat à mort dans le vide ordure Touchy10

Tout d'abord intrigué, Je lui rendais un sourire sadique quand je comprenais qui j'avais en face de moi. Voila un gros morceau.  

-Mamoiselle West ! Ca fait longtemps !
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Rhyme West
Rhyme West
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Âge : 21 ans.
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Analyses : 257
Double-Identité(s) : Jeremy Arkeley.
Ven 15 Jan 2016 - 21:50
Rhyme West

Rivalité brisée, combat à mort dans le vide ordure Tumblr_mlmrvzJs2K1r88dzko1_500

Il y a beaucoup de choses dont Rhyme se contrefout royalement.

Mais là, elle avait cru avoir affaire à une autre personne. A tel point qu’elle avait oublié que ce foutu type venait de lui voler l’objet de sa mission pile devant son nez. A tel point que le prénom avait été prononcé difficilement, tandis que la jeune femme se redressait à quelques mètres à peine de Reyes. Du moins, de ce qui ressemblait à Reyes. Ce ne pouvait pas être ce crétin, en train de se baigner dans le sang de personnes assassinées de ses propres mains. Durant de longues secondes, Rhyme fixa la mare de sang dans laquelle elle se trouvait, puis glissa son regard sur l’homme à un bras qui se tenait encore debout, et qui portait sur la jeune femme un regard indescriptible. Probablement la victime que Reyes s’apprêtait à achever. A cette pensée, Rhyme haussa un sourcil et reporta son regard sur ce dernier.

- Bravo génie, c’est bien moi. Par contre, j’aimerais savoir ce que tu fous. Tu me fais une mauvaise blague ? Rassure moi, c’est de la sauce tomate et des mannequins que t’as décapité ?

Le silence était tellement lourd qu’il était possible d’entendre la respiration saccadée du survivant.

- Je croyais que monsieur ne s’abaisserait jamais à tuer des êtres vivants. Tu viens de perdre ton seul argument de supériorité face à moi, continua la jeune femme en arborant un sourire moqueur, malgré le scepticisme qui barrait son visage.

Rhyme aurait pu faire quelque chose. Dans d’autres circonstances, elle aurait probablement lancé une brique sur la tête de Reyes, avant de lui balancer tous les noms d’oiseaux dont elle avait connaissance. Mais là, elle sentait clairement que quelque chose clochait. Bien que l’Agent n’en ait strictement rien à faire du devenir de Reyes, il n’était pas comme d’habitude, et cela se voyait. Avec son regard voilé et son sourire empli d’un sadisme et d’une folie qu’elle ne lui aurait jamais attribué. Loin de là. Elle le savait assommé par sa stupidité et par sa Pourpre. Mais à ce point...

- Pourquoi tu tires une tronche pareille ? Tu devrais sucer ton pouce, tu te sentirais peut-être mieux.

Si seulement.
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Reyes De Pourpre
Reyes De Pourpre
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Ven 15 Jan 2016 - 23:02
Reyes De Pourpre
Le gentil chien qu'elle était tentait de me faire la morale, elle semblait ne pas croire que j'étais à l'origine de ce massacre et tentait par tous les moyens de déceler une éventuelle mise en œuvre, sachant très bien que cette boucherie dont j'étais l'origine était réelle.
Elle n'avait jamais été mon amie, mais elle ne voulait pas y croire, comme si elle avait une quelconque empathie envers moi. Je fixais cette femme le plus sérieusement du monde. Je ne voyais en elle aucune réelle colère, elle n'avait aucune envie de me prendre au sérieux... Ou plutôt... Elle n'avait aucune envie de me tuer.


Pourquoi tu tires une tronche pareille ? Tu devrais sucer ton pouce, tu te sentirais peut-être mieux.




Sans prévenir, je me jetais sur elle à la vitesse de l'éclair, prêt à lui lacérer la gorge. D'abord surprise et prise de court, elle esquivait facilement en sautant sur la droite. Mais c'était ce que je voulais. Mon bras droit, bien que loupant la cible originel, traversa le crâne de l'homme à qui elle venait de sauver la vie, laissant un trou béant dans celui-ci qui s'écroulait sur les ordures dans un son sourd.
Je me tournais vers elle, elle était perdue. Elle ne s'attendait vraiment pas à ce que je la charge mais elle avait vraisemblablement vu ce qui manquait lors de mon rush. Je levais la main droite ensanglanté et l'ouvrais, mettant bien en avant mon doigt manquant. La mémoire me revenait petit à petit et même si j'avais oublié Rhyme, tout m'était immédiatement revenu en mémoire dès lors que j'avais vu son visage... Je savais qu'elle était du genre bavarde quand elle ne rentrer pas la queue avec les supérieurs qui la commandaient

-Je ne sais pas vraiment la raison qui à poussé Reyes Morisaki à faire ça. Mais il s'est sectionné le pouce, lui ôtant ainsi la capacité de revenir à la raison son esprit s'est noyé dans les méandres de l'existence.

Je baissais la main et reprenais mon discours

-Je ne sais pas qui j'étais avant ça. Je ne me souviens de rien. Juste de quelques directives fortement ancré dans notre subconscient, comme un mantra pernicieux : Aoko et Aurora Corporation.

Je fus surpris de voir qu'elle semblait réellement attentive. Ou alors elle s'en fichait royalement, me laissant simplement parler dans le vent.


-Si je suis sceptique quand à Aoko. Je sais cependant ce que m'inspire l'Aurora Corporation. Je dois détruire tous ce qui s'en rapproche. Et tu en fais partie !

Elle restait impassible. Elle avait toujours été comme ça. Un cobaye stupide complètement fermé sur ses positions. Fidèle à la corporation sans pour autant être dénué d'esprit critique.


-Mais je me souviens de toi... Qu'est-ce que tu fais là ? Tu hais la corporation non ? Alors pourquoi agis-tu comme la parfaite salope de service ? De qui as-tu peur ? Jameson Arkeley ? Il n'est plus là. Rhyme West ? Il sera bientôt anéanti... Daniel Helm ?... Il...

Je m'arrêtais là. Elle avait toutes ses raisons d'en avoir peur en fait. Les cobayes étaient effrayant car il n'était pas humain. Daniel Helm était effrayant car il était humain, mais quelque chose en lui n'appartenait pas à ce monde. Peu importe, une balle dans la tête et il était mort non ?

-Tu pourrais rejoindre les révolutionnaires Rhyme... Tu pourrais devenir une figure de proue de leurs armée. Alors pourquoi tu continues à te comporter de la sorte ?

Je me tus. Pendant un long moment je n'entendais rien d'autre que le vent et le bruit des mouches se nourrissant des déchets sur lesquelles nous étions.

-J'ai changé d'avis. En fait... Je peux vraiment pas me voir ta gueule.


Et je chargeais à nouveau.
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Rhyme West
Rhyme West
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Double-Identité(s) : Jeremy Arkeley.
Sam 13 Fév 2016 - 16:37
Rhyme West
Rhyme avait toujours eu l’habitude d’avoir un Reyes bavard face à elle. Mais un bavard capable de proliférer des choses intelligentes, ça, ça n’existait pas. Du moins jusque-là. C’était une des raisons pour lesquelles elle était aussi attentive à ce que disait Reyes. Reyes, qui parlait de lui à la troisième personne. Soit il se prenait pour un dieu omnipotent, soit il était encore plus dérangé qu’à l’accoutumé. Ou les deux, tout simplement.

- Même dans cet état, tu te mêles toujours de ce qui ne te regarde pas. marmonna t-elle d’un sourire provocateur.

Elle ne pouvait pas nier qu’elle ne comprenait pas grand chose. Reyes était fou de nature. Un de plus, un de moins, pour tout ceux qu’elle avait rencontré... Qu’est-ce que ça pouvait bien changer ? Le pire étant peut-être qu’il lui arrivait de dire des choses intelligentes. Une fois de temps en temps.

- Je suis là pour une bonne raison. Je ne vais pas me casser les pieds pour cette stupide gueguerre entre les méchants et les gentils. Et toi, qu’est-ce que tu es, mon cher Reyes ? Un gentil prêt à sauver sa petite Aoko ? Ça ne sert à rien...

Rhyme fut coupée dans son élan lorsqu’elle vit Reyes foncer droit sur elle. Surprise par la vitesse dont il faisait preuve, elle esquiva à temps et se tourna à nouveau vers Reyes après avoir observé les alentours. La seule arme que possédait Rhyme était un pistolet, n’ayant pas jugé bon d’emporter plus sur elle. De toute façon, cela n’aurait servi à rien. Reyes était beaucoup trop rapide pour un pistolet du commun des mortels.

- C’est sûr que c’est très malin de s’attaquer à des petits Cobayes comme moi. Pourquoi tu ne t’en prends pas directement à la source ? Ce serait bien plus malin. Et tu éviterais de me fatiguer pour rien.

En marchant sur les décombres d’un ancien bâtiment, Rhyme se saisit d’un objet pointu qui trainait au sol et le balança brusquement en direction de Reyes. A cette vitesse, son arme improvisée suffit à entailler le bras de Reyes. Il bougeait beaucoup trop vite pour un être humain normal, mais Rhyme n’avait aucun mal à le suivre du regard. Du moins, pour l’instant, puisqu’elle s’avait parfaitement que ce n’était pas prudent de s’approcher de Reyes. Et c’est justement ce qu’il tentait de faire. Rhyme recommença la manœuvre plusieurs fois d’affilées, lançant tout ce qu’elle trouvait en direction de Reyes, à une vitesse telle que n’importe quel projectile devenait une arme fulgurante. Elle ne voulait pas laisser le temps à Reyes de répliquer, et lorsqu’elle se saisit d’une barre de fer qui traînait au sol, elle dut s’y reprendre à deux fois avant de réussir à percuter Reyes de plein fouet. Sachant pertinemment qu'elle n'avait pas beaucoup de forces, elle recula subitement en restant à bonne distance du Cobaye. Elle garda sa barre de fer dans ses deux mains et l’observa attentivement.

- T'as fini maintenant ?
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Reyes De Pourpre
Reyes De Pourpre
Ennemi Public
Âge : 22
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Matricule : Cobaye
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Analyses : 46
Sam 13 Fév 2016 - 23:27
Reyes De Pourpre
Mes différents assauts avaient tous étaient un échec. Rhyme était maline et elle savait que se retrouver au corps à corps contre un cobaye de proximité tel que moi était la chose la plus stupide à faire. Elle me jetait des choses à distances avec une force que je n'avais pas ce qui m'obliger à rester à distance et à esquiver chacune de ses attaques. Si je me faisais toucher, je mourrais très certainement sur le coup. Je continuais mes parades, les décombres n'étaient pas infini tandis que la pourpre me donnait une endurance quasi illimitée. Finalement je cru percevoir une ouverture et j'approchais vivement vers elle mais elle était maline : alors que je pouvais presque la toucher une barre de fer heurtait avec une forte violence mon crâne ce qui m'obligea à reculer.
Je pris un moment pour jauger mon adversaire. Elle avait réussie à entailler mon bras gauche, et à m'infliger des dégâts avec une barre en fer. Je devais prendre ses blessures en compte car si la pourpre avait de nombreux avantages en combat j'avais cependant quelques soucis à savoir que la douleur était extrêmement réduite... Je pouvais subir une blessure mortelle et continuer à combattre sans y faire attention. C'était quelque peu dérangeant car je pouvais mourir sans que mon cerveau ne m'envoie d'alerte préalable me disant que quelque chose cloche.


-T'as fini maintenant ?


Je regardais les trois Rhyme qui me narguaient avec une arrogance presque imaginaire... Trois Rhyme ? Elle m'avait peut-être frappée plus fort que je ne le pensais.



-Je ne fais que commencer !


Je chargeais à nouveau en prenant bien garde à la barre en fer. Rhyme était droitière, par conséquent... J'attaquais le flanc gauche ! Je fonçais droit à toute vitesse, griffe en avant et déchirait son corps. Je la traversais purement et simplement. Mais aucune giclée de sang. Je me retournais. Elle était toujours là, intacte.


-Eh ? Qu'est-ce que tu fous ?


-Grrrrr !


La mauvaise ! La mauvaise ! Maintenant que ma vision s'était stabilisé je fonçais à nouveau droit sur elle. Elle avait arrêter de me jeter des projectiles, jugeant certainement qu'elle s'épuisait pour rien. Ce qui était une sage décision. J'arrivais là ou je voulais : au corps à corps ! Elle fit valser sa barre en fer vers moi mais j'avais prévu le mouvement. J'esquivais facilement et en rien de temps j'étais dans son dos, j'enlevais le pistolet de son holster et seulement à ce moment là, la cobaye compris ce qui se passait et se retournait en une frappe circulaire que j'esquivais en reculant rapidement. Je pointais le canon de l'arme sur elle. Son air arrogant avait prit celui d'un visage sérieux qui regrettait de m'avoir sous estimer. Je tirais. Mais le coup ne partit pas. J'appuyais plusieurs fois sur la gâchette mais rien à faire, elle ne voulait pas bouger.


-Q... Qu'est-ce que ? Une nouvelle arme ID de l'Aurora ?!


-... La sécurité abruti...


-La... Quoi ? Oh et puis merde !


Je jetais l'arme droit sur Rhyme et presque aussitôt ensuite je m'élançais à nouveau au corps a corps. Avec sa main gauche elle dévia le projectile et de sa main droite, elle abattait sa barre en fer verticalement... Ce mouvement était stupide, pour moi, il était relativement facile  d'esquiver les attaques verticales ! Je décalais légèrement sur la droite et l'arme de fortune s'écrasait sur le sol tandis que je souriais comme un damné ! Je pouvais déjà voir mes ongles s'enfoncer dans ses yeux mais subitement sa main gauche revenait sur moi, un cailloux dans son creux.


-Merde !


Elle me cognait le crâne avec une violence monumentale. Celui là... Je l'avais senti ! Je reculais et tâtais l'arrière de ma boîte crânienne.


-S... Salope !


Elle s'était retenue ! Elle s'était clairement retenue ! Elle aurait pu me tuer avec ce coup si elle l'avait voulu ! Peut-être était-elle sentimentale ? Mais je prenais surtout ça pour une provocation. Venant d'elle ça ressemblait plutôt à du ''Je t'achève quand je veux''. Je la fixais avec colère avant de me mettre à rire


-Ah... Aha.... Ahahahahahaha ! Très bien !Très bien Rhyme ! Visiblement tu ne me prend pas au sérieux !... Je vais devoir t'y obliger !



Je portais le bras qu'elle avait touché précédemment à ma bouche, et aspirais mon propre sang.


Rivalité brisée, combat à mort dans le vide ordure Drogue10
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Rhyme West
Rhyme West
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Analyses : 257
Double-Identité(s) : Jeremy Arkeley.
Dim 14 Fév 2016 - 23:34
Rhyme West
- Je te prends pas au sérieux, en effet.

Pour l’intéresser un tant soit peu, il aurait déjà fallu y aller. Mais entre Reyes qui s’était mis à voir trois furies et qui n’avait toujours pas saisi l’utilité existentielle d’une sécurité, la jeune femme était encore loin de lui accorder tout son sérieux. D’autant plus que ses maladresses l’avait fait sourire. Ironiquement, il restait le même. Malgré une overdose de Pourpre conséquente. Plantée à quelques mètres de Reyes, Rhyme jongla avec le caillou maculé de sang qu’elle venait d’enfoncer dans le crâne de Reyes. Volontairement, elle n’avait pas souhaité le blesser. Et le pourquoi du comment, elle n’en avait aucune idée. Peut-être parce qu’il n’était pas dans son état normal, qu’elle avait trop la flemme, ou qu’elle éprouvait une très vague sympathie. Planquée sur une couche de haine cordiale.

- Arrête tes conneries, Reyes. Tu ferais mieux de foncer à Aurora pour récupérer ta copine au lieu de me les briser.

Oui, elle l’avait peut-être sous-estimé. Néanmoins, elle n’ignorait pas le fait que Reyes était capable de lui faire mal quand il était motivé. Même si elle n’avait récolté que de minces égratignures. La jeune femme enfonça ses mains dans ses poches, en observant Reyes un instant. De là où elle était, Rhyme avait du mal à savoir ce que Reyes était en train d’inventer comme nouveau concept. Elle faillit lui balancer un « t’as soif à ce point ? » en pleine figure, mais elle se retint à la dernière minute en se rappelant d’un tout petit détail. D’un mince souvenir, issu de son ancienne vie de Cobaye. Quand Reyes faisait cela, c’est qu’il ne plaisantait pas. Vraiment pas. Et ce fut probablement à cet instant que Rhyme arrêta de croire à une stupide blague.

- Tu me soules. Pourquoi tu t’attaques à moi ? Même dans cet état, tu restes un crétin fini.

Cette fois-ci, ce fut à son tour de charger, et de lancer son caillou en visant la figure de Reyes.
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Reyes De Pourpre
Reyes De Pourpre
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Âge : 22
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Matricule : Cobaye
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Analyses : 46
Mar 16 Fév 2016 - 20:35
Reyes De Pourpre
-P... T'attaque... Moi ?

Le monde était flou, le monde était fou, le monde n'avait aucun sens, le monde devait être... Éduquer !
Un projectile qu'il peinait à discerner fonçait droit sur nous mais il esquivait d'un geste relativement simple. Derrière une silhouette floue suivait mais il l'attrapait dans sa course sans aucune peine et l'envoyait valser dans le décor d'une force dont je l'ignorais capable. C'était moi. Mais ce n'était plus vraiment moi

-Les chiens doivent mourir !

Jetait-il sans ménagement en réponse à la question à peine compréhensible qu'elle nous avait poser il y a à peine quelques secondes.
La dose était trop forte. A présent nous étions un peu comme un Berserker. Chaque chose qui bougeait autour de nous devait être détruites, déchiquetées, anéantie... Dévorées ! Tout ce qui nous entourait étaient des formes grossières et potentiellement dangereuse.

-Pourquoi tu te bats ?

-Je ne sais pas.


-Pourquoi vis-tu?


-Je ne sais pas.

-Pourquoi es-tu seul ?

-Je ne sais pas

-... Pourquoi pleures-tu ?


-Je ne sais pas

C'est ce qui était bien avec Pourpre. C'est qu'il ne savait rien. Avant... Je savais tout... Je savais ce qu'était que de prendre une vie, que de perdre un proche, j'étais humain, les humains sont faibles et ne pouvaient rien faire par eux même. Ils étaient les misérables fourmis qui s'agitent, hurlant en vain contre un géant au pied d'argile... C'était exactement ce que faisais Jeremy. Possédait-il vraiment une idéologie ? Ou agissait-il par pure vengeance envers son père ? Que ce soit l'un ou l'autre... Que comptait-il faire ?... Voila. Celui qui sait réfléchis trop. Il pense trop. Il se questionne trop.
En faisant surgir Pourpre, je portais magnifiquement mon statut de cobaye. Un animal sauvage et bestial. Il ne savait rien, et celui qui ne sait rien à peur de tout. La peur vous dévore comme les ténèbres dévorent la lumière et vous poussent à tuer encore et encore pour vous maintenir dans la lumière.

-Plus je tue, plus je suis assoiffé... Plus je suis assoiffé, plus je tue.


-Non ! Silence ! Ne la tue pas !

-Hors de ma tête ! Faible ! Faible !

-Ce ne sont pas les directives !

-J'emmerde les directives !

-C'est mon corps !

-Tu me l'as cédé ! FAIBLE! FAIBLE !

Il n'y avait rien à faire. La drogue était bien plus forte que ma volonté et je n'avais aucun moyen de reprendre le dessus, juste de gêner ses pensées pour permettre à Rhyme de...

-Rhyme ! Frappe moi ! Assomme moi !


-Tu vas disparaître ! Tu t'effaces déjà ! Alors cesse de me mettre des bâtons dans les roues quand ça devient intéressant ! MORISAKI !


Il y a bien des choses qu'il détestait. Et le fait que je lui tienne tête, il ne supportait pas ça. Il était un animal, par conséquent il suivait la loi du plus fort. Si Rhyme lui montrait sa supériorité, il se calmera.
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Rhyme West
Rhyme West
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Analyses : 257
Double-Identité(s) : Jeremy Arkeley.
Dim 28 Fév 2016 - 22:03
Rhyme West
Le coup, elle l’avait senti. Et ce fut difficilement qu’elle se redressa, en jurant contre la terre entière et contre la pierre qui avait rencontré son crâne, ne manquant pas de l’étourdir durant quelques secondes. Plongée dans l’idée d’éclater la tête de Reyes contre une porte, aidée par l’adrénaline du moment, elle en avait oublié ses blessures - et à vrai dire, elle ne savait même pas si elle saignait ou non. Rhyme secoua la tête et s’avança de quelques pas en direction de Reyes, avant de s’arrêter lorsqu’elle le vit gesticuler dans tous les sens. Elle ne savait pas si c’était une nouvelle parade d’intimidation, ou si c’était juste la stupidité de Reyes qui ne pouvait s’empêcher de refaire surface. Visiblement, ce devrait être ça. Ça et sa nouvelle bipolarité.

- Te frapper ? répéta t-elle en haussant un sourcil, interloquée.

C’était trop beau pour être vrai, vraiment. Elle était à deux doigts de le lui redemander en souriant, le même sourire qu’une gamine ravie d’avoir reçu un nouveau jouet. Mais au dernier moment, elle se rappela que ce n’était pas trop le moment, pour ce genre de choses. A vrai dire, Reyes venait quand même de perdre sérieusement la boule. Et étrangement, le simple fait de savoir qu’elle allait l’aider ne la dérangeait pas. Allez savoir si c’est de l’amitié, ou la simple crainte de perdre une distraction hebdomadaire supplémentaire.

- Comme tu veux...

Sans prévenir, Rhyme fonça droit sur Reyes. Et le tout premier réflexe qu’elle eut, fut de lui balancer un coup de pied aux parties sensibles, avant d’enchaîner par un coup de poing en pleine mâchoire. Ayant prévu son coup à l’avance, elle fit un pas en arrière, attrapa une barre de fer tordue et l’écrasa en direction de l’estomac de Reyes, avant de faire un bond en arrière pour éviter une contre-attaque imprévue. Certes, le corps à corps avec lui était risqué. Mais c’était beaucoup trop tentant de le frapper de la sorte, surtout lorsque c’était lui qui le demandait...

- Désolée de pas t’avoir prévenu. Mais ça aurait sans doute eu moins d’effet.

Le tout dit avec un grand sourire.
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Reyes De Pourpre
Reyes De Pourpre
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Âge : 22
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Analyses : 46
Mar 1 Mar 2016 - 13:28
Reyes De Pourpre
Je me réveillais lentement et douloureusement. J'avais l'impression d'avoir été passé à tabac par un gang de voyou à l'exception près que la source de mon tourment n'était pas un gang, mais une simple femme seule.
J'avais mal au crâne, et même si la pourpre endiguait la douleur je pouvais sentir que mon entrejambe tirait la gueule. 
Après avoir repris mes esprits je tentais de me relever mais mes efforts furent vains. J'étais cloué au sol par une grande barre de fer bétonnée dans le sol auquel on m'y avais accroché les deux mains avec une paire de menottes. Aucune fuite possible et aucune chance que je puisse les briser.
Devant moi, Rhyme West, toujours avec cette barre en fer dans la main et ce regard arrogant. Je lui étais reconnaissant de m'avoir laissé la vie sauve mais j'étais quand même amer d'avoir perdu... Surtout que le combat n'avait techniquement pas été loyal... Je me demandais si le fait qu'elle ne m'est pas tué avait un rapport avec le passif qu'elle avait avec moi ? Passif que j'ignorais partiellement.
Je me mis à rire jaune avant de m'avouer vaincu

-Ok t'as gagné.

Je fixais la femme d'un regard froid en attendant une quelconque réaction de sa part mais quelque chose était insupportable. Une sensation qui me restait en travers de la gorge : Je n'arrivais pas à lui être agréable ainsi je poursuivais presque aussitôt

-J'ai les couilles qui me démangent horriblement. Tu veux pas me donner un coup de main ?

A peine eus-je prononcé ces mots que je reçus à nouveau un violent coup à la tête.  je perdais connaissance une nouvelle fois avant de me réveiller un peu plus tard. Je saignais du crâne et même si chaque blessure sanguinolente que je recevais me rendais plus fort Rhyme semblait suffisamment maline pour faire en sorte que je ne saigne pas trop : la blessure par balle que j'avais encaissée quelques temps plus tôt avait été soigner (Entendez par là qu'elle avait retirée la balle), couturiser, et couverte de gaze. 
J'étais piégé.

-Aïe aïe... T'es pas du genre à avoir beaucoup d'humour toi. Je comprend pourquoi je t'aimais pas.

Et je ne l'aime toujours pas. Cependant elle m'avait vaincu... Pour cette fois. Ce qui m'inquiétais c'était plutôt la suite des évènements.

-... Et maintenant ?
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Rhyme West
Rhyme West
Informateur
Âge : 21 ans.
Féminin
Matricule : Gouvernemental
Profession : Espion - Informateur.
Liens : I'm up in blood, I'm runnin' dry.

Analyses : 257
Double-Identité(s) : Jeremy Arkeley.
Sam 5 Mar 2016 - 21:05
Rhyme West
- J’en ai, de l’humour. Mais il ne fait rire que moi. Contrairement au tien, si on peut appeler ça de l’humour...

Rhyme se laissa tomber au sol, jambes croisées, à quelques mètres à peine de Reyes. Elle ne comptait pas le détacher, et c’était quelque chose qui s’était remarquée dans son attitude on ne peut plus détachée. Tout en glissant une cigarette rescapée du combat entre ses lèvres, elle tendit le bras et parcourut du regard les égratignures et les hématomes qu’elle arborait. Par chance, elle n’avait rien de cassé, mais son bras gauche et son flanc était sanguinolent. Elle haussa les épaules pour elle-même, et compressa ses plaies en arrachant des lambeaux de vêtements.

- T’as pas un briquet ? demanda-t-elle en ignorant la question de Reyes.

Une ignorance temporaire. Après une minute de silence, elle redressa la tête et balaya les mèches de cheveux qui s’était échouée sur son visage.

- J’en sais rien. Tu sais au moins ce que tu veux faire maintenant ?

Elle jeta un rapide coup d’oeil à Reyes, en observant son état. Il saignait du crâne, mais ce n’était pas bien grave - bien qu’elle en soit la fautive. Finalement, elle se pencha légèrement et adressa un vague sourire au Cobaye, désignant d’une main le carnage qu’il avait réalisé il y a moins d’une heure.

- Vu le bordel que t’as foutu, ce serait dommage que tu t’arrêtes en si bon chemin. En disant celà, elle avait brièvement regardé sa main mutilée. D’autant que t’as quand même eu la mauvaise idée de te couper le pouce. Si tu veux mon avis, c’est pas très intelligent de ta part, ajouta-t-elle dans un sourire moqueur.

Elle reprit un air un peu plus sérieux, et poursuivit sur sa lancée.

- Je peux t’aider, si tu veux. A trouver Aoko. Mais pour tes rêves de destruction massive, tu te démerderas sans moi.

Elle ne savait même pas pourquoi elle perdait son temps pour des conneries pareilles.
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Reyes De Pourpre
Reyes De Pourpre
Ennemi Public
Âge : 22
Masculin
Matricule : Cobaye
Profession : Dealer de drogue
Analyses : 46
Lun 7 Mar 2016 - 19:05
Reyes De Pourpre
Quelque chose clochait dans le comportement de Rhyme qui était bien trop agréable pour que ce soit vrai. Elle jetait furtivement un oeil à ma main amputée du pouce avant de me faire ce qui ressemblait à un reproche légèrement cynique concernant la tuerie dont j'étais l'auteur. 
Je restais de marbre à ces remarques mais elle en venait finalement à toucher une corde sensible en parlant d'Aoko. elle proposait... de m'aider, elle me proposait de m'aider à récupérer Aoko. 
Je me mis à rire à pleins poumons, me moquant clairement d'elle sous son regard d'incompréhension tandis que je commençais réellement à pleurer de rire

-M'aider à trouver Aoko ? Stupide salope arrogante. Ne fait pas comme si tu l'ignorais. Elle est à la corporation ! Elle croupit très certainement dans une cellule ! Tu vas faire quoi ? Toi ? Le chien préféré de l'Aurora ? Tu feras ce que tu as toujours fait : tu rentreras la queue et te mettras à quatre pattes quand tes supérieurs te le demanderont !

Je me foutais très clairement de sa gueule. Elle ne pouvait pas me faire la morale. Pas elle qui était du côté des salopards. Je pouvais presque voir son collier et sa laisse pendre à son cou.

-Si tu te voyais avec mes yeux Rhyme ! Pourquoi tu ne regardes pas les choses en face ? l'ère d'aurora arrive a son terme ! Regarde un peu vos ennemis ! Jameson Arkeley, Jeremy Arkeley, Coralyne Marescotti... A ce que je sais Jameson s'est déjà infiltré et à causé du tort et les deux révolutionnaires vous ont causés du tort avec une facilité presque déconcertante. Ces trois là passent par la porte d'entrée et vous anéantissent sans que vous ne puissiez rien faire... Ce n'est pas comme ça que tu vas prolonger ta ridicule existence. Aurora est sur la défensive, incapable de riposter ! Bientôt le monde nous appartiendra ! A NOUS ! NOUS LES SURHOMMES !

Je me jetais sur mon ennemi, les menottes menaçant de céder sous la violence de l'impact. Mais elle ne bougeait pas. Son visage était près du mien mais elle ne sourcillait pas. J'avais terriblement envie de lui mordre le nez, de lui arracher et de lui cracher à la gueule mais elle avait mit exactement ce qu'il fallait de distance entre nous.


-Ce monde est erroné Rhyme ! L'anarchie arrive ! Et je vais profiter un maximum de ce chaos ! Avant je semais la discorde... Et maintenant... Je suis la discorde !

Elle recula d'un pas certainement face à l'haleine pestilentielle que la pourpre me donnait. J'avais la senteur d'un proche de celle d'un ivrogne ce qui était compréhensible.
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