Fiche d'identité
Nom : Riakev
Prénom : Alexandrove Anton
Âge : 20 ans
Profession : Employé dans une boutique d'antiquités
Affiliation : Civil
Identité Ancienne
Comment savoir ce qu'à vécu une personne mais, au vue des circonstance, nous allons tenté de remonter le fil fragile de la vie pour en apprendre d'avantage sur notre jeune ami de la famille Riakev. Une famille modeste avec un père, Vadim Riakev travaillant comme gérant d'une exploitation agricole et une mère reconnu dans le monde de la tapisserie, Anna Larina, de son nom de jeune fille. Ici, un porte s'ouvre sur le souvenir vague d'une voix maternelle aux notes musicales et chaleureuses, la voix d'une mère souriante et à la prestance d'un ange. Il ne se trouve rien de plus en cet endroit.
Ouvrons donc un seconde panneau de bois ouvragé.
« Une maison se dresse en pleine campagne, entouré de murs de pierres et d'arbres, un enfant s'amusant devant la bâtisse. Le petit garçon de 8 ans joue dans un bac à sable, s'imaginant un château de fragiles grains de sable assailli par l'armée ennemi, les défenseurs se battant vaillamment pour défendre leur roi. Puis, un homme aux cheveux d'un noir d'encre et de carrure imposante l'appela depuis la véranda de la maison.
-Alexandrove, rentre à la maison mon grand, ta mère veut te voir.
-J'arrive père, s'exclama le petit garçon avant de filer rejoindre ce dernier.
Sans plus de parole il est conduit à la chambre de ses parents, là, allongé sur le lit se trouve sa mère. Sa longue chevelure blonde brille au soleil et près d'elle se tient un homme en blouse blanche. Ses grands yeux bleu le fixe avec amour et tristesse tandis qu'elle lui fait signe de venir près d'elle. Le garçon, comprenant sans doute ce qui était en train de se passer s'avança et laissa sa mère le prendre dans ses bras puis, après quelques instant elle se fit plus sérieuse et le teint à bout de bras.
-Mon cher trésor, tu sais que tu grandis bien trop vite tu sais. Tu n'oublieras pas de ranger tes jouets Alex', que ton père ne soit pas obligé de passer derrière toi d'accord ?
-Oui maman, promis. Je les rangerais après ; répondit l'enfant.
N'y tenant plus elle le serra à nouveau contre elle.
-Maman va devoir aller dans un endroit pour se reposer trésor, je ne pourrais pas revenir à la maison. Tu veilleras bien sur ton papa pour moi mon poussin ? Demanda-t-elle au bord des larmes.
-Alors je viendrais te voir tous les jours ! S'exclama le petit avec effronterie et provoquant le rire de ses parents.
-Non bonhomme, mais nous irons la voir tous les dimanche ; rectifia son père.
-...Alors j'apporterais des fleurs à maman tous les dimanches comme ça elle aura une partie de notre jardin avec elle.
-Si tu veux fiston, nous lui apporterons des fleurs chaque dimanche. Allez, va donc nous attendre sur le perron.
Le petit garçon sorti de la pièce et alla attendre sagement et, quand enfin ses parents et le médecin se trouvèrent devant la voiture il dit au revoir à sa mère sans verser de larme. Ce n'est que lorsque la voiture commença à s'en aller qu'il se plaça sur le bord de la route et leva l'un de ses petits bras en un signe d'au revoir qu'il laissa sa peine se déverser, sans même ciller.
-Je veillerais sur papa et je viendrais te voir ! S'exclama l'enfant au visage baigné de larme et au sourire éclatant. »
La porte se referme et une autre prend ça place, 12 ans plus tard.
« L'adolescent pénètre dans le bureau de son père. Vadim Riakev était installé derrière son bureau, stylo en main et penché sur une lettre ; les années l'avaient rendu plus fort et, bien que son corps ait fait les frais de la vieillesse, son esprit était toujours aussi affûté. Il leva son regard vert sur son fils et sourit, fier devant l'enfant qui devenait lentement un homme. Néanmoins des plis soucieux barrés son front.
-J'en ai terminé avec les lettres père, auriez-vous autre chose à me faire faire ou puis-je retourner préparer le bouquet pour mère ?
-Il y a bien autre chose dont il faut que nous parlions. Ta mère et moi l'avons décidé ensemble, il serait bon pour toi de trouver un travail et ton grand père nous a dit qu'il avait quelque chose pour toi. Ton avenir t'attend fils et il ne se trouve pas ici, de plus, la ville sera bien plus bonne pour toi que cette campagne. Elle est notre future et nos espoir pour vous, générations futur. Nous pensons qu'elle t'apportera beaucoup. Nous t'envoyons en ville, chez ton grand père avec la lettre de recommandation qu'il nous à envoyé pour toi. Tu partiras demain.
-Mais... si tôt ? Voulut savoir Alex' d'un air déprimé. Quel est donc se travail qui m'éloigne ainsi de vous ?
-Je ne sais pas de quoi il retourne mais connaissant ce vieux bougre il a sans doute trouvé la perle rare ; s'excusa Vadim en lui tendant une enveloppe. Tu n'as qu'à la lire.
Avec des gestes hésitant, l'adolescent ouvre l'enveloppe et lit en silence la lettre. Son visage s'éclaire subitement avant que l'inquiétude ne le reprenne.
-Mais... et pour mère ?
-Ne t'en fais pas, tu pourra lui écrire et aller la voir même si les moment seront plus rare. Je lui emmènerais néanmoins les fleurs que tu lui as promis les dimanches.
L'après midi même ils rendirent visite à Anna, ils partagèrent les nouvelles du jours, celle-ci félicitant son fils et lui souhaitant bonne fortune. Mangèrent ensemble puis se séparèrent. Ce soir là, la valise du jeune homme était fin prête et le lendemain il s'en allait par le premier train venu. »
Notre parenthèse s'achève, ou du moins se ferme sur ce passé. Ah ? Pourquoi un nom aussi long ? Et bien, Alexandrove lui fut donné par sa mère, héros d'un roman et à la fois une preuve d'amour. Anton quand fut celui que lui donna son père, ce fut le nom porté par son grand père paternel. Voilà, à présent son histoire se poursuit auprès de vous.
Caractéristiques
Que dire du tempérament de ce dénommé Alexandrove Anton Rakiev, ou tout simplement Alex'. L'enfant insouciant à fait place à un garçon mature plus rapidement que la plupart des autres enfants. Son humeur et te le temps, on ne peut prédire de quelle manière il réagira mais une chose est sûre, il prend la vie du bon côté et est un garçon prompt à sourire et à s'amuser. Néanmoins, il fait preuve d'assez de maturité quand il lui faut savoir prendre une décision. Tenant à son unique moyen de subsistance, son travail, il s'est dans quel camp se ranger et à quel moment dire stop. Ses amis sont cher à son cœur, il s'est que l'on s'en fait peu et qu'il faut les chérir pour ce qu'ils sont car ils sont comme une famille. Il évite de se poser trop de question à propos d'Aurora corporation et préfère rester à sa place mais à la demande de certains il laissera peut être traîner une par-ci par-là si l'occasion s'en présente. Bien sûre si son travail le conduit sur tel où tel chemin. Ah et ce travail ! Quelle joie pour Alex' que de se trouver entouré de vieux objets aux histoires si différentes. Pouvoir toucher le bois ancien d'un fauteuil en se demandant si un père s'y est assis pour raconter une histoire à ses enfants assis peut être devant une cheminée ; ou alors si une vieille femme ne s'y est pas installé pour tricoter. Le plaisir est aussi de pouvoir contempler de vieux livre, d’écouter de vieux disque le tout au milieu de cette odeur si particulière de poussière et de vieille choses qui n'attendent que de pouvoir vivre une nouvelle vie. Ce sont les souvenir que les gens laisse derrière eux qui pousse le jeune homme à préférer ce travail à celui d'un simple serveur de café. Le plaisir n'est pas le même et les contacts non plus. Il s'inquiète aussi pour son père et sa mère, écrivant à cette dernière aussi souvent qu'il lui est possible, lui parlant de tous, du temps qu'il fait comme des gens qu'il regarde de temps à autre dans les parcs et des nouvelles qui circulent. De plus il est des plus prévenant envers son grand père qui l'a recommandé auprès du propriétaire de la boutique d'antiquités. Il vit à ses côtés et apporte un peu de chaleur dans la vie du vieil homme, rendant sa demeure un peu plus vivante.
Un corps à l'apparence fluette, des cheveux gris souris coupé court et une écharpe élimé vert pâle flottant au vent. La silhouette se précise tandis qu'elle avance le long du trottoir, sa démarche sautillante, presque insouciante de l'environnement qui l'entoure, semble d'avantage propre à un enfant qu'à un jeune homme ; et pourtant il s'agit bien là d'un adolescent de vingt ans. D'extravagante lunettes rouge ceignant son front et étant coincé derrière ses oreilles, il poursuit son chemin, ses yeux du bleu éclatant d'un ciel d'été survolent les individu près desquels il passe. Son visage délicat ne porte nul marque, nul grain de beauté n'est peint sur sa peau fraîche et de la teinte rosé d'un nouveau né. Son sourire est bien caché mais il est bien présent au fond de son regard et au coin de ses lèvres. Pour un total de 54 kilos et 1 mètre soixante cinq, sa forme physique reste dans les normes. Courir d'un bout à l'autre de la ville pour ses livraisons l'aide à garder une bonne condition. Il semble apprécier les bracelets et autres ornements et, sans eux, il manquerait quelques choses à cet individu pour parfaire sa tenu décontracter et son t-shirt s'arrêtant au nombril. Une sacoche de bonne facture ne le quitte pas lors de ses allées et venue, contenant papiers et cartes, tous plus important pour chacun. Un morceau de tissus noué à l'aide d'une ficelle rouge masque un tatouage fait récemment à son bras droit tandis que sa main gauche est engoncée dans un gant en cuir remontant jusqu'au coude.
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