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Calixte Strauss-Ziegler ♥ "La vie n'est qu'une longue perte de ce qu'on aime." - Victor Hugo

Anonymous
Invité
Invité
Mar 16 Juin 2015 - 3:24
Invité
Fiche d'identité



Nom : Strauss-Ziegler. N'est-ce pas un peu trop pour un nom de famille ? Quelle est son importance de toute manière ? Je ne suis pas né dans le bon côté de la richesse et pourtant ce double nom respire l'opulence. Strauss m'a été légué par mon père, Ziegler par ma mère. Ils ne se sont jamais mariés, allez savoir pourquoi. Vu l'amour qu'ils m'ont porté, je ne peux pas dire s'ils savaient vraiment ce que c'était d'aimer. Je l'aime bien, moi, au final, ce nom. Il donne des airs d'importance, il avoue une maîtrise alors que ce n'est qu'un nom. Il aurait pu être insignifiant, rappelant juste les racines de mes ancêtres, mais non, il ressemble à un nom de quelqu'un qui aurait marqué l'Histoire. Ou de quelqu'un qui la marquera.
Prénom : Calixte. "Le plus beau", en grec, n'est-ce pas, là, la marque même de l'arrogance parentale ? Cela ne me déplaît pas à vrai dire, c'est assez amusant. Tout comme mon nom, on me croirait héritier d'une famille vivant dans un manoir, avec majordomes et femmes de chambres, le faste et la luxure dégoulinant d'entre mes lèvres. Alors qu'il n'en est rien. Et c'est probablement ce qui m'amuse, cette façon de tomber si aisément dans un cliché avec si peu d'informations. Ou alors, est-ce simplement moi qui trouve des corrélations trop lointaines ?
Âge : 21 ans seulement, et pourtant, j'ai bien l'impression d'avoir trop vécu. D'avoir vu trop de choses, d'avoir connu trop de monde, d'être dans cette suffisance générale. 21 années de trop, et pourtant, 21 ans ce n'est rien. Tant mieux ou tant pis ?
Profession : Sociologue, psychologue, observateur, génie. Tant de caractéristiques capables de qualifier ce que je fais que les mots me manquent. Je dépasse le stade simple d'une seule et unique profession, j'ai bien plus de valeur que ça. Je suis donc plusieurs choses, et je reste, bien malgré moi, insignifiant. Qu'est-ce être unique puisque nous sommes si nombreux ? Alors j'observe, elle, lui, vous, nous, toi et j'écris, je détaille, je pense. Mais la véritable énigme est à savoir si cela est mon rôle ou mon devoir ?
Affiliation : Scientifique. Là encore on pourrait y voir un jeune homme en blouse blanche, tirant son gant en latex et prêt à s'armer de son scalpel. Mais non, une fois encore, je me détache de cette vision stéréotypée, après tout, je ne fais qu'observer, que discuter, que manipuler. Si les apparences sont trompeuses, les comportements ne le sont pas. Comment réagirez-vous face à moi ?

Identité Ancienne

Il pleut encore aujourd'hui. Il a plu hier et il pleuvra sûrement demain. Mes yeux s'éteignent comme à leur habitude tandis que je vois ces gouttes frapper la vitre de la cuisine. C'est déjà l'hiver depuis quelques semaines et l'usure du mauvais temps est devenue lassante. L'accoutumance est quelque fois une chose si horrible. Je m'en souviens encore de ces jours pluvieux, armés de mes bottes en caoutchouc, habillé d'un ciré qui laissait l'eau ruisseler sur moi et de mes sauts joyeux dans les immenses flaques qui rodaient autour des trottoirs. Je m'en souviens encore, de ces jours où les sourires s'affichaient alors sans vergogne sur nos visages bienheureux. Je me souviens encore, oui, de cette jeunesse intrépide, trépignant d'être grand, oubliant à quel point il fait bon vivre d'être un enfant. Que nous étions sots, que nous étions naïfs. Le bonheur appartient aux insouciants, à ces inconscients qui pullulent autour de cette misère pourtant bien visible. Pourquoi rient-ils ? Pourquoi semblent-ils tous si fiers et enjoués ? Ne la discernent-t-ils pas ? Toute cette souffrance qui les entoure entièrement, qui les englobe même. Sont-ils idiots à ce point ? Ou simplement aveugles ? Je ne saurais dire, mais depuis ce jour-là, ils me débectent. Tous. Il est bien lointain, pour moi, ces jours où je pouvais rire à gorge déployée tout en courant, amusé d'être poursuivi par cette figure paternelle, rassurée par le visage doux et la chaleur maternelle qui veillait du coin de l'oeil nos aventures. Il sont bien loin, ces jours où nous étions une famille heureuse, unie, chaleureuse. Parfois je me demande si ce n'est pas mieux ainsi, si être alerte de cette morosité générale n'est pas une bénédiction du ciel. Après tout, lorsque je regarde toutes ces âmes perdues vagabonder dans l'ignorance, je me dis qu'il est préférable d'être malheureux et conscient plutôt que de ressembler à cette normalité qui suinte à travers les banalités harassantes d'un quotidien trop ennuyeux pour être vécu. Qu'ils sont sots, qu'ils sont naïfs...

Je n'avais que dix années derrière moi lorsque mon père partit. Je ne peux pas dire que ce fut pour le mieux, mais je ne peux pas dire non plus que ce fut pour le pire. Les derniers souvenirs que je partageais avec lui n'étaient que sa silhouette au-dessus de la mienne. Je revois ses poings fermés s'abattre sur moi, une pluie de coups ne s'arrêtant plus, un hiver éternel. L'accoutumance est une chose bien terrible, croyez-moi. Au bout de quelques années, je n'avais plus que la douleur physique et une certaine rancoeur qui alimentait un désir de vengeance impossible à assouvir. Combien de fois ai-je espéré avoir la force de lui rendre les coups ? Combien de cauchemars ai-je fais où je le voyais aboutir à son œuvre et surtout combien de fois ai-je rêvé de lui transpercer la poitrine d'une lame ? Je ne les comptais plus lorsqu'il prit la sage décision de nous quitter. J'étais rentré tôt ce jour-là, d'habitude, je traînais les pieds, prétextant n'importe quoi pour éviter cette porte d'entrée qui n'avait plus rien d'enviable. Je redoutais ce retour à la maison plus que tout autre chose. Mais ce jour-là, rien ne s'était immiscé dans ma routine et j'avais dû faire face. Je pénétrais timidement à l'intérieur de la maison et le silence d'or régnait. Pas de cris, pas de télévision d'allumée, rien d'autre qu'un mutisme à la fois effrayant et réconfortant. Je me hâtais dans ma chambre et ce ne fut que le soir, tandis que ma mère rentrait, que son sanglot m'avertissait de la nouvelle. Il était partit. D'abord le soulagement, puis l'incompréhension et enfin, la colère face à cet abandon lâche. J'aurais pu être simplement heureux qu'il ne soit plus là, mais il restait mon père, celui qui m'avait élevé, celui qui jouait, autrefois, avec moi. C'est con, mais c'est humain, alors, n'est-ce pas normal ?

Le temps passait et je fus le seul de la maison à vraiment m'en remettre. Bien que le paternel n'était qu'une larve au chômage, avachi jour et nuit sur un canapé puant, il y avait un vide. Notre maison était devenue froide et silencieuse, il ne s'y passait plus rien. Alors que j'avais vu mon père se dégrader de jours en jours, ce fut au tour de ma mère d'échouer. La tristesse était plus forte, sa détresse l'emporta vers un autre monde comme on dit. J'avais alors quatorze ans le jour où je découvris le cadavre de ma mère pendu dans sa chambre. Une corde autour du cou, le teint pâle, contrairement aux idées reçues, elle n'avait rien de paisible, elle était putride, fétide et son visage, crispée, jaillissait d'une expression douloureuse probablement subit à cause de la suffocation. Alors que j'expérimentais réellement la souffrance et la tristesse, tout me parut bien vide de sens. Depuis ce jour-là, quelque chose se brisa, une réalité s'en alla de mon âme, et je me retrouvais seul. Je n'étais plus qu'un gamin perdu, l'âme en peine, le cœur brisé et enfoui dans une solitude douloureuse.

Je continuais ma route, seul donc, accablé par la vie à cause de la mort et de la disparition. C'était l'État qui se porterait garant de moi, et il décida alors de me placer dans une famille. Ce n'était pas vraiment une famille d'accueil mais plutôt des gens qui avaient accepté de m'héberger le temps de ma majorité, le temps de toucher le peu d'économie que nous avions. Je n'avais rien à regretter, après tout, les premiers souvenirs de mon enfance disparaissaient lentement et se voyaient remplacer par tous les nouvelles images qui peuplaient mon existence. J'étais devenu solitaire, me plaçant en arrière-plan, incapable d'interagir avec les autres, me contentant de les observer. C'est de là que m'est venu cette espèce de passion, ce désir, cette envie insatiable d'imaginer la vie des autres. Préférant regarder les autres vivre plutôt que de vivre moi-même, je m'amusais à construire tout un tas d'histoires autour d'eux. Bientôt, je m'amusais à m'immiscer sur quelques rumeurs, sur quelques potins, simplement pour les voir réagir. Je les étudiais puisqu'il n'avait désormais rien d'autre à faire, rien d'autre d'intéressant. Je m'éloignais de cette rationalité qui nous dictait notre quotidien, qui nous laissait vivre soi-disant comme nous l'entendions. Mais avec le temps je pouvais distinguer cette souffrance, cette douleur. Elle était partout. Si je voyais un couple, je les voyais s'engueuler puis je les voyais se quitter, si je voyais un gamin jouer au parc, je le voyais pleurer le soir parce qu'il n'avait personne pour jouer avec lui. Tout ce négatif qui ressortait, c'était effrayant et fascinant à la fois. Je m'y plaisais, après tout, il n'y avait plus que ça à faire, se contenter de voir et se permettre d'imaginer. L'être humain, son comportement, ses pensées, ses réactions, tout ça était magnifique.

J'avais toujours été un gamin brillant. Au-dessus de l'excellence, doté d'un certain génie malgré quelques lacunes évidentes dans tout ce qui touchait de près ou de loin aux idées cartésiennes. Le réel n'avait pour moi qu'un attrait visuel sur le détail, les perspectives étaient bien plus amusantes. Je sautais quelques classes, j'obtenais mes diplômes, et il semblait alors que j'entrais dans des cases d'exceptions. J'entretenais ce génie qui m'avait été offert par la nature, et je développais ce don d'observation pour en faire une spécialité. Ce fut tel qu'une offre d'emploi vint à moi sans même que je n'ai le petit doigt à bouger. L'Aurora Corporation, cette société qui promettait le bonheur à tous. Ça semblait amusant alors j'acceptais sans grande hésitation, après tout, j'étais encore un gamin solitaire, malheureux et souffrant d'un manque qui ne trouverait probablement pas de remplissage. Je me demandais si cette société des miracles saurait changer ce chagrin en une joie incommensurable mais j'étais bien loin de la réalité. Derrière ce masque souriant se cachait une véritable réalité, celle que j'avais toujours connu, celle que j'avais toujours partagé. Des expériences, des cobayes humains, des gens qui avaient tout perdu comme moi et qui espérait, naïvement, que tout se restaure d'un claquement de doigt. L'être humain, son comportement, ses pensées, ses réactions, c'était tellement splendide de le voir se débattre dans cette mélasse de faux espoirs. Que pensaient-ils ? Qu'une société allait pouvoir leur rendre le sourire ? Qu'une fois la perte d'un être cher ou d'une quelconque souffrance éternelle, on leur rendrait ce vide béant qui subsistait en eux ? Qu'ils étaient sots, qu'ils étaient naïfs.

Depuis ce jour, je vois l'humanité comme une race bien différente de la mienne, celle des génies. Je n'ai aucune arrogance, après tout, ce n'est que du réalisme. Je ne crois pas aux contes de fées, à ces légendes et à ces histoires surréalistes qui se terminent trop bien pour être vraies. Je ne suis pas stupide, au contraire, je crois aux cauchemars et à la misère. J'admets le rêve uniquement pour l'illusion que ça apporte, rien de plus, rien de moins. L'Homme est sale, décadent, lâche et égoïste, il n'y a plus rien à faire pour le sauver du piège qu'il s'est lui-même tendu. Aurora propose une alternative, un être parfait, un être capable de tout. C'est assez amusant, ironique même quelque part. Alors je fais comme d'habitude, j'observe, je mets mes talents en vente pour cette société qui pense avoir trouvé la solution. Malgré tout, je regarde l'autre côté de cette face cachée, cette révolution en marche, ces gens qui s'opposent à cette privation de liberté. Je me fiche bien de qui gagnera, je me fiche bien de qui a raison, moi, comme toujours, je me contente de regarder.

Ou peut-être pas. Après tout, ne suis-je pas un Homme ?

Questionnaire

Quel est votre avis à l'égard du Gouvernement ? D'Aurora Corporation ? Comptez-vous vous inscrire au programme Aurora Corporation, si ce n'est pas déjà fait ? Êtes-vous au courant des méfaits de la Société Miracle ?

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Êtes-vous pour, ou contre les actions du Gouvernement ?

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Avez-vous une motivation propre ? Quelque chose qui vous aide à vous lever tous les matins, à continuer à vivre ?

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Caractéristiques

Certaines personnes semblent croire que l'Homme est complexe. D'autres le qualifient d'intelligent, d'animal rusé. Et pire encore, quelques personnes le pensent intimement bon. Nous sommes pourtant tous d'accord pour dire que l'Homme est doté d'une conscience, d'une intelligence lui permettant de survivre. Donc nous admettons tous que l'Homme ferait tout pour sa propre survie et qu'en plus de ça, il est parfaitement conscient de ce qu'il fait. Malgré tout, ces gens-là arrivent à trouver raisonnable de le qualifier de bon. L'Homme est mauvais, exécrable, égoïste et lâche. Il écrase ses semblables pour être au-dessus du lot, il est capable du mieux mais ne fait que le pire car tant que son existence n'est pas percutée par les méandres et la misère des autres, tout lui semble acceptable. La faim dans le monde ? Les guerres ? La pauvreté ? Rien à foutre tant que lui mange, vit sous un toit et que son quotidien n'a pas plus de conflit qu'une dispute avec sa femme ou d'une tension avec un de ses collègues. L'Homme est un animal rusé ? Alors qu'il est capable d'abandonner toute rationalité et toute raison dans l'espoir vain d'un rêve, d'une espérance ou quoique ce soit d'autre qui soit impossible. C'est beau, certes, mais ce n'est qu'une illusion. Vouloir retrouver un être cher c'est vouloir retrouver ce qu'on partageait de bien avec, c'est vouloir récupérer cette nostalgie qui s'envole et nous échappe. L'Homme veut avoir un contrôle sur tout même sur ce qui ne se maîtrise pas. Ainsi, l'Homme est un animal idiot, décadent et appauvri par des espoirs d'ambition improbable. Il est vaincu par le désir et l'envie, un once de pouvoir lui donne de l'arrogance et une lueur de réussite lui fait, naïvement, penser que tout est possible. C'est un être qui ne mérite pas, en son état, de survivre. Et moi aussi, je ne suis qu'un Homme, soumit à toutes ces émotions qui m'entachent l'existence, à cette souffrance perpétuelle, à cette lassitude éternelle et surtout à cette décadence qui me pousse inlassablement vers une débauche certaine.

Ainsi je suis fumeur, j'use de la drogue pour avoir un léger voile de bonheur éphémère et inexistant, je bois, quelques fois, pour entrer dans les critères de ma jeunesse et je vis dans la banalité d'une normalité presque insolente tellement rien ne s'y passe. Mon parcours pourrait paraître misérable et bien triste mais il n'est en fait qu'une statistique de plus sur un tableau. Pour remplir d'autres tableaux je réponds à un physique que je n'ai pas choisi, je suis plutôt maigre, un peu plus petit que la moyenne, j'ai les cheveux noirs comme beaucoup d'autres d'entre nous, des yeux sombres parfois ambrés à la lueur du jour et j'ai les traits fins. Voilà bien tout ce qui me distingue des autres et qui me rend si semblable à d'autres encore. Au final je me retrouve avec deux bras, deux jambes, une tête et un corps pour relier le tout. Ce qui me différencie vraiment c'est mon cerveau, ce don d'intelligence supérieure qui m'a été donné à la naissance et comme tous les autres êtres d'exceptions, je suis arrogant, hautain et critique. Je me permets alors de juger les autres et j'en ai même fais ma spécialité. Au delà de tout ça, je me dois d'être un brin mystérieux, je me laisse prendre par la froideur de la distance avec les autres car la misanthropie règne sur mon cœur. D'un simple regard je vous débecte dans un sentiment mélangeant fascination et dégoût. Je suis honnête, je ne mâche pas mes mots puisque je pense que, au fond, nous sommes tous pareils. Je me fiche bien de l'avis des autres mais je me remets en question à chaque fois qu'un avis est porté sur moi. Dès lors, je me sens hypocrite puis je me rappelle que je ne suis qu'un Homme et que c'est alors bien normal.

Comme la majorité des génies, je suis agaçant, j'énerve facilement que ce soit par mon sourire narquois ou à force d'avoir raison. Je possède un côté excentrique, pas dans la joie et dans les couleurs, plutôt quelque chose de morbide, presque glauque. Je suis un petit peu comme l'enfant qui criait au loup sauf que dans mon histoire à moi, ce n'est pas un appel à l'aide mais un piège pour vous amener dans la gueule du prédateur. Je vois l'humanité comme des jouets, et je m'amuse à les regarder vivre et à intervenir dans leurs existences simplement pour les voir réagir. Je n'ai aucune culpabilité, aucun remords, après tout, si vous êtes assez naïfs ou désespérés pour tomber dans le piège, c'est que vous méritez un châtiment. La nature vous a fait don d'un cadeau qu'on appelle la vie et vous l'avez gâché, alors en payez le prix est tout à fait normal. Doté d'un grain de folie dont je suis conscient, je l'entretiens un peu pour me distinguer des autres génies. La concurrence est rude, et même si entrer dans la masse fait partie de mon job, là encore, je ne suis qu'un Homme et je cherche forcément l'originalité. La plupart du temps, je me contente de regarder, me satisfaisant du quotidien des autres, c'est amusant de voir à quel point l'être humain, censé être si complexe, se trouve être si prévisible.

J'ai les forces et les faiblesses propres à l'humanité, capable d'amour comme de haine, mes émotions constituent autant un atout qu'un inconvénient. J'essaye au mieux de m'en détacher, mais on ne peut oublier sa nature, son essence. Malgré tout, on peut dire que j'ai vendu mon âme au diable en incorporant les rangs de la Société Miracle. J'amène lentement mais sûrement ces âmes vagabondant dans le désespoir vers nos locaux et je suis leur développement avec soin. Bien que cela occupe mon quotidien, je ne me considère pas comme appartenant à leurs idéaux. La création d'un être parfait semble alléchant mais pour moi l'Homme doit rester imparfait. Après tout, n'est-ce pas le malheur qui nous fait évoluer ? Ainsi je regarde ce jeu d'échec entre les blancs et les noirs, n'ayant aucune préférence réelle, me contentant d'observer comme à mon habitude. Parfois je me demande...

Suis-je le fou ? Le Roi ? Ou un simple pion ?


Derrière l'écran

Pseudo : Dies Iræ.
Prénom : Zadig.
Âge : 23 ans.
Source avatar :  Orihara Izaya - Durarara!!

Comment nous as-tu trouvé ? : En dérivant de partenariat en partenariat, étant de base, à la recherche d'un forum manga qui serait susceptible de m'intéresser. Je me suis arrêté ici car le forum contient plus ou moins tout ce que je recherchais et il m'a plu tout de suite.
Que penses-tu du forum ? : Il est sombre et c'est vraiment quelque chose que je voulais, les possibilités d'évolutions sont visibles et c'est agréable de voir où on peut aller. Autrement, le contexte est vraiment intéressant et il ne soumet aucune obligation directe, bref, j'aime beaucoup le rendu, l'ambiance qui s'en dégage et les perspectives permises. C'est un peu formel et probablement banalisé, désolé, mais je ne sais jamais quoi dire de constructif dans ce genre de section !
Dis nous en plus sur toi :  N'est-ce pas plus amusant de tout découvrir avec le temps ?  
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Amy Desford
Amy Desford
Chef de laboratoire
Âge : 28
Féminin
Matricule : Scientifique
Profession : Responsable de Laboratoire
Liens : La science est le seul espoir de l'humanité.
Analyses : 264
Double-Identité(s) : Cassie Staverton, Scott Pray, Docteur Nalan
Mar 16 Juin 2015 - 8:07
Amy Desford
Bienvenue parmi nous !
Bon courage pour ta fiche en tout cas et si tu as d'autres questions n'hésite pas !
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Anonymous
Invité
Invité
Mar 16 Juin 2015 - 8:13
Invité
Merci ! ♥️

Non, maintenant, tout est bon, tu as répondu à tout ce qui pouvait intriguer ma curiosité pour mon personnage, encore merci d'ailleurs !

Je me dépêche de faire cette fiche fou !
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Rhyme West
Rhyme West
Informateur
Âge : 21 ans.
Féminin
Matricule : Gouvernemental
Profession : Espion - Informateur.
Liens : I'm up in blood, I'm runnin' dry.

Analyses : 257
Double-Identité(s) : Jeremy Arkeley.
Mar 16 Juin 2015 - 9:32
Rhyme West
Puisque Amy s'est occupé de toi, je n'ai plus qu'à te souhaiter la bienvenue avec amour et amour. (même si ce n'est pas le genre de la maison)

Un sociologue, il ne manquait plus que ça dans nos joyeux rangs. J'ai vraiment hâte de voir ce que tu nous prépare avec un personnage au nom aussi pompeux ! 8D
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Anonymous
Invité
Invité
Mar 16 Juin 2015 - 9:35
Invité
Oui, j'embête toujours les fondateurs en premier ! Mais ce sera avec plaisir que je viendrais t'embêter également !

Merci ♥ !

C'est parce que son nom est pompeux qu'il suit la logique des apparences trompeuses muahaha ! Enfin j'espère ._. ! Il ne me reste plus que son caractère pour détailler un peu plus ce que je soulève dans l'histoire ♥ !
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Anonymous
Invité
Invité
Mar 16 Juin 2015 - 10:28
Invité
Je m'excuse pour le double-post !

Je signale juste que ma fiche est terminée. S'il y a besoin de faire des modifications ou des précisions, n'hésitez pas, je me rends compte que j'ai peut-être pas assez détaillé.

Merci d'avance pour la lecture et tout et tout ♥ !
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