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J'suis en manque de bonbons. | Walter Grimm

Anonymous
Invité
Invité
Ven 4 Mar 2016 - 22:32
Invité
Fiche d'identité



Nom : Grimm
Prénom : Walter
Âge : 22 ans.
Profession : Mercenaire / Tueur à gages.
Affiliation : Civil.

Identité Ancienne

Pour fêter votre entrée au sein de notre sublime Aurora Corporation, parlons en premier lieu de votre passé.

Vous savez le comble pour un mercenaire ? C'est de ne pas aimer tuer.
Et pourtant c'est son métier hein.
Ouais, cette vanne (si si c'en était une) n'était pas terrible, désolé.
La question ce pose donc: Pourquoi faire ce métier alors ? Et,c'est une bonne question ma foi. En fait, la réponse est simple quand on connait une grosse partie de l'histoire. Et celle de Walter Grimm n'est pas des moindres.
Le rouquin a vécue une petite enfance des plus normales, et des plus heureuses. Des parents aimants, un frère, des amis, des bonbons qui vous donne des caries et ... BREF, tout allait  pour le mieux en ce temps là. Le père Grimm était scientifique, chercheur pour être plus exact, quant à la mère elle était romancière. Dans un cadre familial comme celui-ci, on devinait facilement que le petit et son frère se découvrirent vite une passion pour la lecture et l'écriture. A oui, autant le dire maintenant, Les Grimm avaient deux enfants. Des jumeaux. Walter était le plus extravertie et énergique des deux, quant à son frère William, il était lui plus discret et calme, préférant plutôt la diplomatie plutôt qu'à l'action. Ils étaient curieux de tout, et s'entendaient à merveille. Même si la rivalité fraternelle était bien présente et qu'il leur arrivait souvent de se battre ou de se  disputer pour rien. Cependant, les frangins étaient peut-être un peu trop curieux au goût de leur paternel. Pourtant, ils tenaient bien ça de lui, autant que pour leur chevelure rousse. Ce qui était aussi étonnant, c'est que  les deux parents avaient toujours interdit à ces petits bonhommes turbulent (enfin, cette qualification vaut surtout pour Walter en y repensant ...) de ne jamais entrer dans le bureau de leur père.
Mon dieux ce que c'est prévisible mais ... Vous vous doutez bien de ce qu'on fait Walter et William n'est-ce pas ?

C'est à leur dix-septième d'année qu'ils ce sont enfin décidés à entrer dans le bureau de leur père. Ils avaient tout planifié tel des espions pour que le plan fonctionne. Ouais, dans la tête d'un gamin de douze ans, faire un truc pareil c'est être un criminel vous voyez ?  Braver l'interdit en entrant dans la pièce secrète comme le bureau du cher papa !
Mais avec le recule bien sûr ce n'est pas quelque chose de très grave. Ni même de relativement excitant.
Surtout que là, ils avaient dix-sept ans. Ce n'étaient plus vraiment des gamins quoi... Enfin un peu, vu leur excitation. Il n'avaient quasiment jamais désobéis à leur père, c'est pour vous dire. Les deux frères avaient donc attendu que leur mère sorte pour être les seuls à la maison. Elle avait prévue de faire la tournée des librairies ce jour là. Et le père n'était pas à la maison puisqu'il travaillait.
Dès qu'ils entendirent le bruit de la porte qui se verrouillait, ils sautèrent du canapé où ils s'étaient sagement installés et se dirigèrent dans le couloir pour arriver devant la porte du bureau.

- Wally, t'as les clés au moins ? Demandait William un peu nerveux. C'est bien beau de vouloir entrer mais ... Et puis si papa s'énerve ...
- T'en fais pas pour papa ! Le rassura son frère avec un sourire et son air excité.
- Alors les clés ?
- ... Euh  ... Mince.

William soupirait lourdement en baissant la tête d'un air désinvolte. Comment son jumeau pouvait-il être aussi bête des fois ? C'est clair que leur père n'allait pas laisser la porte de son bureau ouverte si il leurs avaient toujours interdit d'y pénétrer. Il n'avait pas non plus idée de où son père pouvait bien ranger la clé du coup.

- Comment t'as fais pour pas y penser sérieux ... T'es vraiment stupide des  fois.
- C..C'est toi qu'est stupide d'abord ! T'aurais pu me le dire avant ou t'en occuper toi même !
- Je peux pas toujours penser à tout !
- Ça veut dire quoi ça ? Que je suis trop bête pour penser à certain trucs ?!

C'est mauvais, ils recommençaient encore à se disputer. C'est vrai que Wally se reposait souvent sur son frère. Et même si William  était le plus calme et discret des deux, c'est bien lui que l'on considérait comme le plus vieux. Ce qui avait tendance à agacer Walter. D'ailleurs, William battait souvent Walter, à tous les défis qu'ils se  lançaient. Même aux sports de combats ! Mais en ce qui concerne l'entêtement, Walter était gagnant. Bref, le premier à  capituler de la dispute était William. Il savait bien que son frère s'énervait assez vite, et qu'il ne lâcherait pas le morceau avant d'avoir le dernier mot.

- Réfléchissons, si papa à les clés sur lui, peut-être qu'il a un double ici au cas ou.
- Ouais ! Peut-être dans leur chambre. Ou dans le salon ?

Il échangèrent finalement un regard complice, Wally allait dans le salon pour fouiller les moindres recoins, et Will dans la chambre des parents.
Le plus calme regardait dans la table de chevet de sa mère et dans celle de son père en premier lieux et prenait soins de remettre chaque chose à sa place ensuite. Espérons que sa mère ne remarque rien. Vous voyez, la mère Grimm est ce genre de femme et de mère qui à carrément des radars à la place des yeux. Elle verrait sûrement qu'un objet à bouger de cinq millimètres ... Pendant que Wally retournait chaque coussin du canapé et regardait dans chaque vases posé sur la commode de la salle, Will inspectait maintenant la penderie.
Miracle ! C'est entre deux pilles  de vêtement qu'il découvrit la cachette de la clé ! Encore faut-il que ça soit celle-là, mais c'est maintenant ce qu'ils allaient voir.

- Walter ! Ça y est, je l'ai trouvé ! s’exclamait William en sortant de la chambre pour accourir dans le couloir et rejoindre son jumeau qui arrivait devant lui rapidement.
- Ouah, trop fort ! Vas-y ouvre le bureau maintenant ! Le visage de Walter s'illuminait d'excitation. Il ne pouvait plus tenir en place  à présent.

William mit la clé dans la serrure avec hésitation, pour finalement la  tournée de deux tour à droite et ainsi ouvrir la porte.
Les deux garçons entrèrent en silence dans la pièce  qui était plongée dans l'obscurité. Ils avancèrent à pas de loup, comme si il y avait possiblement quelqu'un qui pourrait les surprendre alors qu'à l'évidence ils étaient seuls. Wally allumait la lumière. Et son visage s'illuminait une  nouvelle fois lorsqu'il découvrit les grandes étagères remplies de livres. En fait il y en avait tellement que certain étaient en pile au sol. Bien sûr, ce n'était pas des romans comme ceux de  sa mère, dont ils avaient l'habitude de lire, puisque la mère aimait bien leur raconter ce qu'elle écrivait, mais  peut  importe, il adorait lire  et comme ça, ils allaient savoir, son frère et lui se que pouvait bien faire leur père ici tous les soirs en rentrant du boulot. C'est vrai quoi, la plus part des pères rentrant du boulots s'affalent sur les canapé épuisés, mais Docteur Grimm se replongeait dans le travail même chez lui. Will  était aussi excité maintenant qu'il s'était jeté sur les livres de l'étagère la plus proche, pour ouvrir un des livres et commencer sa lecture. Après quelques minutes, les deux petits espions levèrent leur nez des bouquins pour se fixer.

- Tout les bouquins parles de biologies et de divers trucs  médico-pharmatruc... Déclarait finalement Wally.
- Ouais, je trouve ça pas mal. Non ?
- Mouais ... bof. Et sur son bureau ? On a pas regardé !
Disait-il en s'élançant près du dit bureau, à la recherche de choses qu'il jugeait plus intéressantes à découvrir. Il n'arrivait pas à comprendre pourquoi son frère s'était orienté dans les sciences durant ses études. Il trouvait ça assez barbant la plus part du temps...
Le bureau était rempli de piles de dossiers mal rangés et de feuilles volantes. Son frère tentait de  calmer son enthousiasme, peut-être qu'ils ne devraient pas regarder ! Après tout, c'est vrai que le père ne parlait pas souvent de son travail. Il disait seulement que c'était pour 'le bien commun".
- A..Attend Wally, tu ne devrais peut-être pas ..!

Ne l'écoutant pas, le jeune garçon prit s'installait au bureau et ouvrit un des dossiers présents dessus. Il commençait à lire, alors que son frère près de lui se cachait les yeux pour ne pas être tenté. Walter  parcourue les lignes du dossier feuilles par feuilles, et au fil de la lecture, ses doigts se crispaient sur les feuilles.
Remarquant le  silence intriguant de son jumeau, Will enlevait ses mains de devant ses yeux. L'expression du visage de son frère avait totalement changé. Il était passé de joie extrême de l'excitation level hardcore (ouais ça veut rien dire, mais cette formulation est drôle, chut.) à une mine mélangeant l’effroi et la peur.

- Wally ... ? ça va ...? lui demandait son jumeau perplexe, remarquant le brusque changement d'attitude de son frère.
- Quel ... Enfoiré ! Hurla Walter. William écarquillait les yeux de surprise. Son frère avait déjà fait des crises de colère, mais cette fois semblait différente. Il était à la fois énervé et effrayé pour une raison inconnue du frère le plus calme. Devant le silence béat de William, Walter reprit la parole : Les dossiers de papa ...  sont des rapports expérimentaux ... Sur des humains. Et c'est justement ton dossier.
- Pardon ? Mon quoi? QUOI ...? William lui arrachait le dossier des mains. Il constatait avec horreur que son frère disait vrai. Il y avait dans le dossier, la photo de Will, et ensuite des informations personnelles, des résultats médicaux et ensuite expérimentaux. Mais quand est-ce que leur père avait prit le temps de leur faire tout ça ? Surtout qu'ils n'en avaient aucun souvenir. Il y avait un trombone qui reliait son dossier à un autre.  Celui de Walter justement. Les relevés n'étaient pas les mêmes bien qu'ils soient jumeaux, mais peu importe pour l'instant, car ils n'avaient pas consciences de ce que ça voulait dire et de ce que ça impliquait. 

Un bruit de serrure les fit sursauter. Quelqu'un entrait ! Merde, c'était vraiment pas le moment. Les jumeaux se regardèrent dans les yeux horrifiés après avoir entendu le bruit, qui continuait encore quelques secondes avant qu'un bruit de porte qui s'ouvre. C'était le moment de s'agiter pour les frangins. Mais au lieux de reposer le dossier, Walter le prit des mains de son frère, le pliait en deux et le cachait sur lui. 
William lançait un regard plein de doute et de panique à son jumeau. Celui-ci le prit par le poignet pour sortir du bureau au plus vite. Seulement les pas se rapprochèrent plus rapidement, et une ombre leur bloquait la sortie de la pièce. 
C'était un homme d'une taille moyenne, aux cheveux roux légèrement ondulés. Il portait un simple costume marron, par dessus une chemise bleue clair. Voilà à quoi ressemblait le père des jumeaux, et l'homme qui leur bloquait présentement le chemin. 

- Oh, ce n'est que vous... Je me demandais pourquoi la porte de mon bureau était-elle ouverte.  Bizarrement, le père était plutôt calme. Apparemment, lui aussi avait- été paniqué par le fait que quelqu'un puisse entrer dans son bureau. Il adressait à ses fils un sourire chaleureux. Cependant, ceux-ci ne lui rendirent pas. Walter le toisait d'un regard haineux, quand à William, son regard mélangeait tristesse et colère.
Le sourire du paternel disparu, sa mine s'assombrie.
Il comprit que ses fils avaient fouillé, et qu'ils étaient tombés sur des choses qu'ils n'auraient jamais dû voir.

- Je vois. Finit-il par lâcher sèchement. Je sais ce que vous vous dites. Et vous devez être  déçu de moi. Seulement vous ne savez pas tout, et vous ne le saurez jamais. Vous n'auriez jamais dû voir tout ça.
Les sourcils du jeune Walter se fronçait encore plus, ce qui traduisait une grosse en vie d'imprimer la trace de ses phalanges sur la joue de l'adulte. Retenu par son frère, qui ne trouvait rien à répliquer, il allait parler à sa place.

- Déçu ?! ... Mais tu te fous de nous ?! Tu traites ces personnes comme ..Des cobayes ! Depuis quand ?! Depuis combien de temps tu nous traites comme ça ?!
Le père restait silencieux. Il plongeait son regard froid dans les yeux ardent de colère du jeune homme. Il tournait enfin son attention sur William.
- Will... Appelait-il d'une voix plus rauque et traînante. Tu vas devenir un scientifique. Tu devrais trouver ça passionnant non ? Rappelle toi, je ne fais que mettre en pratique ce que tu viens d'apprendre.

Les yeux de Williams s'écarquillent d'horreur. Il avait passé tellement de temps et avait mis tellement de volonté à vouloir devenir un scientifique au moins aussi doué que son père. Mais ce qu'ils venaient de découvrir, c'était ce pourquoi on le formait. C'était comme si tout ses rêves, et ses espérances se consumaient. Le plus calme étaient en pleine déchéance intérieure.
Le père eu un sourire qui s'élargi jusqu'aux oreilles, remarquant la réaction de son fils. C'était ce qu'il devait entendre si il voulait devenir comme lui. Il poursuit d'une voix plus enthousiaste :
- Alors William ? Tu ne trouves pas ça passionnant ? L'étude du corps humain pour en faire un être parfait ! PARFAIT. Quand on fait de telles recherches, avec de telles aspirations, les liens du sang ne sont pas à prendre en compte tu comprends ?!
La réspiration de Will s'accèlerait. Ce qu'il venait d'entendre le figeait. Il agrippait le poignet de son frère d'une telle force que Walter ne sentait plus ses doigts.

- La ferme ... Soufflait Walter. Il ressentait tout le dégoût et la répulsion de son frère par la simple menotte qu'il lui faisait au poignet. Et ce n'était pas le fait de ne plus sentir ses doigts qui le dérangeait, c'était le fait que son frère ressente tout ça. Pour lui, leur père avait été un vrai model.

- Seulement la partie la plus triste, c'est qu'on se débarrasse des cobayes qui son inaptes, ou raté. Dans votre cas les garçons ... Je suis obligés de vous effacer. J'avais prévu un banal accident de voiture, mais là, l'occasion est trop bonne. Ce sera de la matière perdue, mais  on en a en réserve.

Le père passait rapidement sa main dans son dos. Les garçons comprirent ; il avait une arme. L'adulte  dégainait son flingue face à Walter qui c'était âpreté à lui sauté dessus. Le jeune homme restait immobile face à la menace, jamais il n'eu imaginé qu'un jour son père pointerait une arme sur lui. Quand le doigt appuyait sur la détente, c'est Will ui attrapait le canon du 9mm pour le pointé vers le plafond, le coup de feu partit d'un seul  coup. Walter profitait du fait que son frère désarmait son père pour le bousculer et enfin sortir de la pièce en courant. William laissait son père tomber au sol pour courir à la suite de son frère. Les deux garçons sortirent de la maison en trombe. Il était clair qu'ils ne pourraient plus retourner chez eux à présent. Mais où allaient-ils pouvoir aller ?
En courant comme des proies, il atteignirent rapidement le centre de La Grande Ville. Essoufflés, il s'arrêtèrent près d'un banc. Walter d'avachit sur celui-ci, pendant que William s'appuyait sur ses genoux en reprenant son souffle. Il rompait le silence entre-eux:

- Alors ... Et maintenant ?
- Papa, a voulu nous tuer...
- Walter ... Ce n'est pas ce que je veux...
- BORDEL WILL ... Papa à voulu nous descendre !! hurlait presque Wally en se redressant sur le banc. Il a pointé son putain de flingue sur nous !! IL ALLAIT NOUS ...
- LA FERME PUTAIN WALTER. le coupait son frère.
William n'hurlait jamais comme ça. Et là, on peut dire que ça avait calmé Wally, qui le regardait les yeux rond, et se rassit sur le banc.
- ...Je... Ouais... On fait quoi maintenant, c'est ça ? Conclue Wally. Il eu un silence, et d'un ton illuminé William répondait :
- Merde, Walter ... Et maman ?
Walter fut aussi illuminé par cette supposition que son frère.
Et leur mère dans tout ça ?
Était-elle au courant ? Non, impossible.
Risquait-elle quelque chose ? C'était fort probable, leur père n'avait pas hésiter à leur tirer dessus.

- ...Oh merde. On fait quoi ? Putain... Will, on...
- Arrête de paniquer pour commencer. On l'appel. On lui explique.
- Ou.. Ouais. Walter s'apprêtait à sortir son téléphone quand Will l'arrêtait.
- Vu comment tu rames pour seulement dire "ouais", je vais parler, okey ? ~  Il usait d'un ton un peu ironique et moqueur. Il savait que ça agacerait Wally, mais au moins, ça l'aiderait à se reprendre en main.
Will composait le numéro de la mère sur son téléphone, et appelait. Il mit sur haut-parleur comme ça, ils pourraient tout les deux entendre leur mère.
ça décrochait.

- Allo, maman ? ...
Rien, aucun sons.
- Maman, tu nous entends ? C'est nous !
Toujours rien. Les garçon s'échangèrent un regard inquiet.
D'habitude elle répondait toujours.
C'était un vrai moulin à parole dès que l'un des jumeaux l'appelait.
L'appel se coupa. Un silence pensant s'installait. Jusqu'à ce que Walter reprit la parole.

- On va la  retrouver.
- ... Non.
- ... Hein, comment ça, "Non" ?!
- Calme toi.
- Que je me calme ?! T'en as de bonne toi ! Non mais ... Tu ne veux pas retrouver maman ?!  Qui sait ce qu'il lui est arrivé là !
- Et "ils" nous recherchent peut-être aussi imbécile. Imagine, peut-être qu'elle est morte en nous protégeant.
- Attend, tu insinues, que ce qui lui arrive est notre faute ?
- Non, mais ... Réfléchis. Papa voulait nous tuer. On s'est enfuit. Il n'a pas pu décider de nous abattre tout seul, quelqu'un à dû l'y contraindre. Peut-être que ceux qui s'en prenne à maman, nous cherche aussi pour nous tuer.

Le silence revint. Walter acceptait pour une fois l'argument de son frère.

DEUX ANS PLUS TARD :

Et oui on continue dans la foulée.
Ça fait maintenant deux ans que les deux frères tentes de survivre. Ils  ont tous les deux rejoins les Anarchistes. Ces personnes contre la Société Miracle d'Aurora.
Ils ont vite compris êtres  les rares au courants des cobayes. Enfin rare, ils ne le savent pas vraiment. Les personnes au courant sont rarement loquaces sur le sujet.
Beaucoup de choses ont changé. Ils ont dû rapidement apprendre à se débrouiller, et à ce défendre, surtout face aux différents gangs, et j'en passe. Walter, passe souvent son temps à s’entraîner à tirer avec diverses armes, à feu ou blanche. Evidemment, aucun des deux n'a encore tuer personne en deux ans. Ce sont encore deux jeune hommes pleins de bons sentiments, digne d'un disney ou le pouvoir de l'amour et de l'amitié est plus fort que tout.
Attendez, ne vomissez pas des arc-en-ciel trop vite ! Lisez la suite.
Ils cherchent surtout à savoir, comment leur père a-t-il bien pu se servir d'eux comme cobaye, sans leur consentement, et sans qu'ils ne sentent aucun changement, ou qu'ils ne voient aucunes séquelles. En effet, c'est louche.
En deux ans, leur seul indice avait été leur dossier de cobaye que Walter avait gardé sur lui au moment de leur fuite. Ils n'avaient pas pu en tirer grand chose.
Seulement, que certains tests avaient été pour la plus part été administrés sous forme de produit dans leur nourriture.

Maintenant, la question de la survie. Il fallait bien que les garçons gagnent leur vie. Le troque est une bonne solution dans ces cas là, et  le marché noir est d'autant  plus efficace. C'était maintenant leur quotidiens. Seulement, le métier qu'ils avaient jugés plus efficace à leur recherches d'information et de chute de la  Société Miracle, était le métier de chasseur de tête. Oui oui, se faire embaucher, et capturer des personnes pour le compte d'autres gens. Certes, c'est assez ingrats, et c'est similaire aux mercenaire, mais je vous l'ai dit, ils sont encore pleins de  bons sentiments.
La plus part du temps, il essayent de trouver des clients chez les Argents Gouvernementaux et plus particulièrement ceux dont le travail se rapproche de celui d'une Police. Et oui, il faut se sentir plus proche des ennemis que des amis.
Mais c'est lors d'une affaire que tout ça va se corcer, et adieux vision licorne et pouvoir de l'amour. Pour vous extraire de tous bons sentiments, la recette est simple, il vous faut, une mort tragique, de la peine, et de la douleur, avec un soupçon d'actions sanglantes.
Ça commence maintenant :

Walter avait du mal à garder les yeux ouverts. Sa vision était trouble. Il essayait de sortir d'une des bouches d’égout de la  Grande Ville, dans une ruelle assez étroite. Seul son tronc dépassait de la bouche d'égout, le ventre aplatit contre le bitume, qui prenait une teinte rouge. Celle de son sang. Avec le peu de force en lui, il prit appuis sur une barre de fer pour sortir totalement et s'allonger au sol. La perte abondante de sang lui faisait tourner la tête. Alors il fermait les yeux et essayait de se relever à s'aidant du mur à quelques centimètre de lui.
Il ouvrit difficilement les yeux. Il s'avançait d'un pas lourd jusqu'à la sortie de la ruelle. Il reconnu brièvement l'endroit où il était. Ce n'était pas loin du Bidonville.
S'a vision s'obscurcie de plus en plus. Jusqu'à ce que les ténèbres s'offres à lui.

«E...m'sie»
Cette voix résonnait dans la tête du rouquin. Il ne la distinguait presque pas. Il dû attendre pour ce concentrer sur celle-ci et mieux la percevoir.
«M...ieur !»
La voix était familière. Et féminine. Il pensait d'abord à sa mère.
«Bord... rev...vous !»
Ohw, avait-il bien compris ? Sa mère n'était pas si vulgaire.

«M'sieur ! Oh!! Réveillez vous!»

Ses yeux s'ouvrit brusquement. Il dû patienté quelques secondes avant de s’apercevoir qu'il fixait un plafond en boit rongé par les mites. Il voulu se redresser, mais une douleur intense le clouait à son lit. La voix féminine et familière revint, mais cette fois avec un visage.
Une femme, aux cheveux long brun, une cigarette entre les lèvres lui adressait un sourire. Un sourire soulagés.

- Bienvenu parmi les vivant mon chère !
- Vous... Je suis où ?
- Au bidonville de la zone  Alpha. Tu sais, l'endroit où je t'ai retrouvé presque mort ? Il y avait de l'agacement dans sa voix. Mélangé à du soulagement peut-être. Si on compte hier, ça fait deux jour que t'es ici.
Elle s'était tournées pour chercher quelque chose dans une commode.
La douleur insoutenable  venait de son épaule droite. Mais son attention retenait autre chose.
- Deux jours ?..! Où est William ?... Je veux dire, quelqu'un est venu me voir ?
- Nope, t'étais le seul que j'ai trouvé. T'as de la veine que je passait par là Gamin.
Le seul. Un grand sentiment inquiétude l’envahissait.
Soudain il réalisait une chose.
- ... Je ne sens plus mon bras...droit.
La femme se tournait vers Walter, sa mine était plus sombre, elle avait cette expression, quand on crains de dire une chose grave à quelqu'un. Ce qu'elle avait cherché dans sa commode c'était des gros bandages.
-..Quoi ? Demandait Walter en retenant son souffle.
- Gamin, je ne sais pas comment te dire ça mais ... Elle se coupa, et eu une meilleure idée, elle avait un miroir  accroché au mur à droite du lit sur lequel était Wally. Elle l'aidait à se redresser, pour qu'il puisse s'asseoir.
- Regarde dans le miroir...

Ce qu'il vit, eu l'effet d'une balle en pleine tête.  C'est soudain, on ne s'y attend pas.
Ces yeux étaient écarquilles d'horreur.
Il n'avait plus de bras droit. Seulement un moignon à l'épaule.
Il posait sa main gauche sur son moignon.
Maintenant il  se souvenait où  était son frère.
Raide mort dans une ruelle du quartier résidentiel.
Leur client été un citoyens du quartier chic. en tant que chasseur de tête, ils devaient retrouver une certaine personne qui c'était avérée être un cobaye. Un Agent Gouvernemental, bien plus résistant qu'eux. Il les avaient massacrés.
Il se souvenait aussi qu'ils avaient voulu d'abord soutirer des informations sur Aurora en capturant cet agent.
Le résultat était un échec cuisant suivit d'un bain de sang.

Le jour même, Walter avait décidé avec l'aide de l'a femme qui l'avait soigné, de retrouver le corps de son frère, et de l'enterrer en bonne et due forme.
Les prairies de la zone Beta semblait un bon endroit.
Maintenant ce qui lui fallait c'était un nouveau bras.
En une année, il pu se procurer un bon connaisseur en mécanique, et eu l'obtention d'un bras en métal. Ce qui était bien plus pratique En deux ans, il du rééduquer son bras. Pour ne pas se concentrer sur la douleur, il se gavait de sucreries.
Walter, reviens sur le marché, et cette fois, il tue.  
Même si il  déteste ça, et qu'il détourne le regard au moment de porter un coup fatal.
Maintenant, sa volonté de faire tomber Aurora Corporation était plus importante que de vulgaires bons sentiments.


Questionnaire

Quel est votre avis à l'égard du Gouvernement ? D'Aurora Corporation ? Comptez-vous vous inscrire au programme Aurora Corporation, si ce n'est pas déjà fait ? Êtes-vous au courant des méfaits de la Société Miracle ?

- Partiellement au courant je dirai, je suppose que vous avez fait d'autres méchancetés en cours de route. Eeeet ... Non pour le Programme, et pour l'avis ... Je crois qu'au sein du gouvernement, Ils se sont tous tatoué le logo d'Aurora sur le cul !


Êtes-vous pour, ou contre les actions du Gouvernement ?

- Contre, mais avant de faire tomber le gouvernement, je ferais des réserves de bonbec, bah ouais, il faut se préparer pour le spectacle !

Avez-vous une motivation propre ? Quelque chose qui vous aide à vous lever tous les matins, à continuer à vivre ?

- Pouvoir m'acheter des bonbons. Autant de bonbons que je veux ! <3

Caractéristiques

Approfondissez votre personnage du mieux que vous puissiez, et dressez un portrait relativement détaillé de ses caractéristiques en tout genre : son physique, ses faiblesses, ses défauts, ses sentiments, ses forces, sa position par rapport au Gouvernement... Une dizaine de lignes sont conseillées pour que Aurora Corporation sache à quoi s'attendre avec vous.

Physiquement :

Walter à une taille moyenne d'un mètre soixante-quinze.
Il a les épaules assez larges, et un corps assez en forme, musclé sans pour autant ressembler à un bodybuildeur ou un héro de comics.
C'est un rouquin à la peau aussi blanche qu'un cachet d'aspirine, qui font ressortir ses yeux verts, aux touches ambrés.
Cependant son œil gauche est "décoré" d'une jolie balafre qui va du haut de son sourcil jusqu'à sa joue.
Il a les cheveux lisses, légèrement ébouriffés et un peu plus long au dessus, mais sa masse capillaire en dessous de ses oreilles est plus courte et plus foncées.
Les trais de son visage sont assez fins et germaniques. Un nez assez allongé et fin.
Les lobes de ses oreilles sont un peu étirés par les 10 millimètres d'écarteurs qu'il porte à chacun. Son oreille droite possède trois piercing de plus tendit que la gauche seulement un en plus de son écarteur.
Il s'habille généralement de manière discrète.
Enfin, avec des couleurs sombres et passe-partout. Un long manteau noir au col relevé, un haut en col V de la même couleur et un pantalon sombre du même acabit.
Comme vous avez dû sûrement le lire avant ça, Wally possède un bras mécanique, qu'il a dû amélioré lui même par moment au cours de sa 22ème année d’existence sur notre belle planète bleue.
Autour de sa prothèse la peau est comme brûlé, et abîmée, comme si ses veines ressortait un peu plus de sa peau.
Voilà ce qu'il en est :
Bras mécanique de Wally:

Caractère :

Depuis qu'il est petit, Walter est une grosse tête de mûle.
Il fonce souvent dans le tas sas réfléchir. Seulement son expérience, et la perte de son frère à remit ce trais de caractère en question. Maintenant, Walter privilégie la réflexion à l'action dans certains cas plutôt que de céder à la panique comme il avait avant l'habitude de le faire. Seulement, ce qui est contradictoire, et qui n'a pas changé, c'est qu'il en faut peu pour l'énerver. Son impulsivité est son plus grand défaut.
Mais il n'a pas que ça comme mauvais côté !
Déjà, son entêtement, son sarcasme et son humour peut facilement vexé, étant donné qu'il s'autorise à être vulgaire la plus part du temps. Il adore se vanté qui plus est. Il a vraiment le melon parfois et n'hésite pas à agiter ses succès au nez des autres.
Il est tout de même quelqu'un de timide derrière sa grande gueule, et dans certain cas il essaye de dissimuler son embarras comme il le peut.
Il n'aime pas qu'on puisse lire en lui, alors il essaye de cacher ce qu'il ressent derrière ses vannes sarcastiques.
Il a néanmoins un faible pour la littérature, et il arrive que pour se changer les idées il écrive toutes sortes de choses. Qu'il cache bien évidement, vous imaginez un mercenaire poète ? Drôle de mélange !


Derrière l'écran

Pseudo : Bah, Walter du coup.
Prénom : J'aime pas mon prénom,alors .. appelez moi Toto, comme tout  le monde. ;x; Ou Yoyo. C'est mieux !
Âge : 17 ans.
Source avatar : Je l'ai dessiné moi même.

Comment nous as-tu trouvé ? : Partenariat.
Que penses-tu du forum ? : Le contexte déchire, le design déchire, BREF, vous déchirez !
Dis nous en plus sur toi :  Et bah, j'aime dessiner, et écrire EEET ...LES SUCRERIES. Comme le petit Wally. ~   Luv  
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Amy Desford
Amy Desford
Chef de laboratoire
Âge : 28
Féminin
Matricule : Scientifique
Profession : Responsable de Laboratoire
Liens : La science est le seul espoir de l'humanité.
Analyses : 264
Double-Identité(s) : Cassie Staverton, Scott Pray, Docteur Nalan
Ven 4 Mar 2016 - 22:41
Amy Desford
Bienvenue parmi nous !

J'aime ton avatar il est chouette et en plus fait par toi-même !
Et un mercenaire qui n'aime pas tuer ça semble prometteur =D

Merci de tous les petits compliments sur le forum Câlinkitu ça nous fait plaisir ouais
Quoi qu'il en soit bon courage pour la suite de ta fiche et si tu as besoin n'hésite pas à nous contacter !

Ah aussi, nous avons mis à disposition un groupe skype pour les joueurs qui veulent nous parler souvent (parce qu'on va pas se mentir la CB est un peu morte ces derniers temps). Donc le voilà :
https://join.skype.com/by3VgyA4iWRg
(et si tu n'arrives pas à joindre je t'enverrai mon compte personnel ou celui des autres admins via MP pour qu'on puisse t'y ajouter).

Bref bienvenue parmi nous en espérant que tu t'y plaises !
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Coralyne J. Marescotti
Coralyne J. Marescotti
Parrain de la Mafia
Âge : 23
Féminin
Matricule : Mafieux
Profession : Parrain de la Mafia
Analyses : 62
Double-Identité(s) : Tempérance P. Van Enlise
Sam 5 Mar 2016 - 10:25
Coralyne J. Marescotti
Salut ! Bienvenue dans le coin, ta fiche semble aller de bon train ! J'aime beaucoup ! En tout cas, c'est chouette d'avoir de l'originalité en ce moment.

Si tu rencontres un problème ou que tu as des questions, Amy, Rhyme et moi sommes là pour y répondre ! Bienvenue encore et bonne chance pour la fin de ta fiche !


Au plaisir de la lire en entière,

C-J.
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Nathanael Ramsey
Nathanael Ramsey
Âge : 24
Masculin
Matricule : Gouvernemental
Profession : Tueur à gages
Liens : Abalym est ma meilleure amie
Analyses : 94
Sam 5 Mar 2016 - 10:38
Nathanael Ramsey
Bienvenue parmi nous !
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Rhyme West
Rhyme West
Informateur
Âge : 21 ans.
Féminin
Matricule : Gouvernemental
Profession : Espion - Informateur.
Liens : I'm up in blood, I'm runnin' dry.

Analyses : 257
Double-Identité(s) : Jeremy Arkeley.
Sam 5 Mar 2016 - 11:38
Rhyme West
COUCOU TOI.

Mes charmantes collègues ont déjà tout dis, mais je te souhaite quand même la bienvenue parmi nous ! Au plaisir de te voir évoluer parmi nous toi et tes bonbons. Choir
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Anonymous
Invité
Invité
Dim 6 Mar 2016 - 0:46
Invité
Merci de l'accueil ! Et des compliment sur mon vava tout ça, ça fait plaisir ! ~
Vraiment, j'ai attiré les trois admins dans mon filet ...:'D
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Kelly Cavell
Kelly Cavell
Indic'
Âge : 14
Féminin
Matricule : Civil
Profession : Collégienne
Analyses : 35
Dim 13 Mar 2016 - 11:35
Kelly Cavell
Voui un nouveau /o/
Bienvenue parmi nous !
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Rhyme West
Rhyme West
Informateur
Âge : 21 ans.
Féminin
Matricule : Gouvernemental
Profession : Espion - Informateur.
Liens : I'm up in blood, I'm runnin' dry.

Analyses : 257
Double-Identité(s) : Jeremy Arkeley.
Jeu 24 Mar 2016 - 22:19
Rhyme West
Coucou toi ! Est-ce que tu t'en sors avec la suite de ta fiche ?
Si jamais quelque chose te tracasse, n'hésite pas à nous faire appel bien évidemment ! On aime chouchouter nos membres. *range le scalpel*
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Anonymous
Invité
Invité
Ven 15 Avr 2016 - 15:34
Invité
T'inquiète !  Elle sera bientôt finie !
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